Tournée générale !

Tann' se permit de payer le verre que venait de commander Odile au tavernier puis tout en la regardant goûter le délicieux alcool, il lui dit.

" Alors dites moi... Odile; sa marche plutôt bien les affaires de votre coté ?! "

Certains jours oui, d'autres non, répondit évasivement la jeune femme d'un ton nonchalent.

Ca faisait longtemps que je n'étais pas revenue ici. Oui, un sacré bout de temps. Et vous ? Etes-vous un habitué de ce bouge ou de passage ?

Odile tournait le dos à la salle et ne pouvait donc pas voir les clients, ou plutôt, elle ne le souhaitait pas. Se reposer, boire, discuter tranquillement et oublier sa tristesse, c'était tout ce qui lui importait alors.

Merci pour le rhum Tanneguy. Mais si vous espérez me saoûler pour mieux abuser de moi, c'est raté ! Je tiens assez bien l'alcool.

Elle lui lança un clin d'oeil en replongeant dans son verre.

Tanneguy, toujours tourné vers Odile, il lui répondit de la manière la plus simple qu'il soit.

" Moi, c'est la première fois que je vient ici. Je suis habitué à passer mes soirée allongé dans un champs à regarder les étoiles mais, j'étais à cour de Rhum. Cela va faire plus de quatre jours que je n'est pas vu ce marchand d'alcool qui passait toujours sur le même chemin et moi, toujours la pour l'attendre et lui détrousser quelques bouteilles... Il a du en avoir mare avec le temps. "

Il eu un petit sourire au coin des lèvres en repensant à la tête que tirait le marchand à chaque fois en voyant Tann' débarquer de nul part au milieu du chemin.

" Je n'est pas l'attention d'abuser de vous, certes il m'arrive de faire de salles coup mais je n'irai pas jusque la ce n'est pas mon genre. "

Plus les minutes passèrent et plus Tann' faisait connaissance avec Odile et plus la bourse de Tanneguy diminuait avec les tournées qu'il payait à la femme bien que cela ne le déplaise pas.

Odile s'amusa des paroles de Tannguy et de son allure de brigand nonchalent.

Alors comme ça vous êtes amateur de rhum ? Hé bien je crois que vous venez de faire une adepte. Il faudra un jour que vous m'indiquiez où passait ce marchand que je le détrousse moi aussi, bien que j'use d'autres moyens.

Au bout de plusieurs verre, Odile commençait à devenir joyeuse. L'alcool, elle le tenait, mais le rhum était une boisson fétârde. Mais au fond d'elle même, le souvenir de ses amants passés la hantait.

Bien, payez-moi plutôt à manger si vous désirez être généreux ce soir. Cela fait trop longtemps que j'ai dû me contenter de cette tambouille parisienne.

Le Rhum commençait également à faire effet sur Tann' bien que se soit sa boisson favorite, il était bien difficile de tenir le coup. Face à la demande d'Odile, Tann' ne put que lui obéir, comment aurait-il put refuser une offre de la part de cette si charmante femme. Il déposa cette fois si 6 écus et 56 deniers sur le comptoir comme il était indiqué sur la tableau des repas. C'était le plus cher et le plus délicieux mais il n'en commanda qu'un seul car lui même n'avais pas trop faim ce soir la. Le plat était un mélange de viandes et de quelques légumes fraîchement cultivés de la veille. il ne fallut que quelques minutes à peine pour que le tavernier revienne de l'arrière salle avec le plat qu'il posa délicatement face à Odile. Tout en la regardant manger, il lui répondit.

" Si vous voulez tomber pile poil au bon moment sur ce marchand, vous devez vous rendre sur la petite route en contrebas à l'heure du déjeuner, forcément c'est une heure où tous les brigands dorment encore... Sauf moi ! "

Lorsque odile entra dans la taverne, Bloodscream surveila attentivement les réactions d'Ariel et de Zoko. Enfin, apparement, le premier avait dû un peu trop boire avant et ne s'était même pas rendu compte de sa présence, et le second l'avait apparement ignoré, mais après tout moins Bloodscream était mêlé à cette affaire, mieux il se portait...

Merci du conseil l'ami. Hum, succulents ces légumes. N'en prenez-vous pas ? Vous avez tord.

Tout en poursuivant son repas, Odile et Tanneguy poursuivirent leur conversation, somme toute professionnelle.

Alors qu'Odile mangeait le plat que venait de lui offrir Tanneguy, quand à lui il finissait de boire sa choppe en savourant les quelques gouttes restantes du Rhum. Tanneguy était fait, rattrapé par l'alcool il ne lui manquait plus qu'une chose, c'était de rentrer à l'auberge du bon brigand pour se laisser tomber sur un lit. Il regarda Odile qui avait bientôt finit puis il lui dit en bégayant un peut.

" Il... il se fait tard... vous savez où dormir ?! "

Tann' sortit alors une clé d'une de ses poches qui comportait un petit numéro, c'était le 2. La clé venait tout droit de l'auberge du bon brigand mais ne pouvant plus tenir ni résister face à la quantité d'alcool qu'il venait d'ingurgiter, Tann' laissa tomber sa tête sur le comptoir et s'endormit dans les secondes qui suivirent...

D'un air amusé, Odile vit s'écrouler Tanneguy sur le comptoir. Elle approcha doucement sa tête de la sienne et sentit.

Hum, vous sentez le rhum à plein nez, et à moins qu'on ne vous porte dans votre chambre, vous ne bougerez pas de ce bar.

Puis elle avisa la clef. N° 2. Le bougerait-on seulement de son siège ? Certainement pour l'occuper à sa place. Tanneguy avait une belle gueule, mais l'une des résolutions d'Odile était de ne surtout pas s'enticher d'un homme qui lui plaisait.

Elle ramassa la clef tombée à terre. Alors en se relevant, elle se figea net en voyant Zoko, en pleine conversation avec d'autres brigands et à ses côtés... Ariel !

Odile fit tomber la clef de stupeur, bouche bée, les yeux écarquillés.

Scribe officiel Nombre de messages : 625 Date d'inscription : 09/10/2006

Zoko avait aperçu Bloodscream entrer dans la taverne et s'apprêtait à le saluer lorsqu'il s'était figé. Il était suivi d'Odile. Il ne savait pas vraiment comment réagir. En lui même il avait souvent regretter son geste, mais il n'était pas du genre à s'excuser. Il n'aimait pas non plus faire comme si de rien n'était. Bref il ne savait pas quoi faire, si ce n'est tenter de réveiller Ariel d'un coup de coude. En vain...

Odile ne semblait pas les avoir vu, du moins pas pour l'instant. Zoko se demandait si la situation dégénererait une fois qu'elle l'aurait vu. Mais si Ariel se réveillait, peut être pourrait on enfin faire la paix et oublier cette sale histoire. Le jeune brigand sourit en réalisant qu'Odile ne lui pardonnerait sûrement pas aussi facilement. Elle avait bien raison d'ailleurs, il ne serait pas celui qui lui reprocherait.

[HRP]Désolé pour le retard, mais manque de temps, et puis pour Ariel, il a encore disparu à ma connaissance...[/HRP]

Intrigué par le bruit venant de la taverne, Nightmare semblait subjugué par le spectacle.

Lui qui était réputé pour être un solitaire, fut surpris à vouloir rentrer dans la taverne.

Arrivant devant la porte de celle-ci, il hésita. Il était nouveau parmi les brigands et ne voulait pas les perturber dans leurs conversations ou leurs disputes. En attendant, il était planté là, ne bougeant pas, observant ce qui se passe à l'intérieur.

Mais la beauté d'Odile ne le laissait pas indifférent, il n'avait d'yeux que pour elle, ne la quittant pas du regard, il pria pour qu'elle le regarde.

Brigand en herbe Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 20/06/2007

Ayant fait toutes les tavernes, Amarezza se retrouve devant la première. Elle décide d'y entrer et s'assie dans un coin sombre.
La jeune femme remarque de nouvelles têtes mais son regard froid ne peut s'empêcher de fixer ce paysan. Elle frole ses lèvres et sourit.

D'un geste discret de la main, Amarezza appelle le tavernier et lui murmure : "Un verre de Rhum!! Mon brave!!!".

L'air pensif, Amarezza regarde de temps en temps la porte comme si elle attendait quelqu'un.

Brigand en herbe Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 10/07/2007

La grotte était plus grande et organisée qu'il ne le pensait. Il y avait même des tavernes...

Les couloirs étant peu remplis, son attention s'orienta vers cette porte, dont la vie avec ses odeurs et ses bruits qui en échappaient indiquait la présence d'une multitude de personnes.

En franchissant son seuil, quelques regards se posèrent sur lui, le reluquant de la tête aux pieds. Mais ce fut de courte durée, il semblerait que l'apparation de nouvelles têtes de ne soit rare en ces lieux...

Incube était vétu d'une longue veste noire, d'une chemise et de bottes de la même couleur. Ce qui ressemblaient à des braies étaient d'un rouge sombre quasi marron.

Sans se précipiter, il se mit à l'aise à la table la plus proche, lorsqu'une femme, vaisemblablement un serveuse , s'adressa à lui:

Vous prennez quelque chose?

C'est d'une voix limpide qu'il répondit:

Un verre de vin je vous prie...

La serveuse lui masquait la vue du comptoir... Quand celle-ci partit s'occuper de sa commande, il put apercevoir une vieille connaissance...
Pas surprennant de le retrouver ici.

Toujours à la recherche d'amis et de gloire, se dit-il...

Et il continua à observer la pièce en attendant que l'on lui apporte son verre...

Ariel ne le voyait pas, il dormait ! Son attention se reconcentra sur Zoko. Alors une fureur s'alluma en elle, et elle ressentit une chaleur haineuse qui ralluma son ancienne blessure. Sa cicatrice au ventre lui fit mal, mais moins que la vue de celui qui la lui avait faite.

D'un regard de rage, ne prêtant pas attention aux hommes qui la regardaient d'un air concupisent, Odile sortit de sa jarretière un poignard, partagée entre l'envie d'ouvrir le ventre à Zoko et celui de l'égorger sur place.

Nightmare entra et s'installa à une table isolée croyant que personne ne l'avait remarqué mais sa grande épée ne passait pas inaperçu et le serveuse le vit. Elle prit peur car elle croisa le regard plein de haine de Nightmare.

Il demanda qu'on lui apporte une bouteille de rhum :

" je voudrait une bouteille de rhum !"

Le serveuse toute tremblante s'approcha de lui, voyant que celle-ci avait peur de lui détourna son regard et lui dit :

"N'ayez pas peur, même si mon regard est haineux, j'ai quand même le contrôle de mon corps"

Il prit un verre et le remplit du précieux breuvage.

Bloodscream grinça les dents. Apparement, le regard de Zoko venait de croiser celui d'Odile. Et m****, qu'attendait Ariel pour se réveiller ?
Ceci dit, il fit semblant de n'avoir rien vu et se remit à boire sa bière... tout en mettant lui aussi des coups de coudes à Ariel...

Scribe officiel Nombre de messages : 625 Date d'inscription : 09/10/2006

Zoko observait les allées et venus d'un oeil distrait, mais remarqua cette autre rousse qui entrait à nouveau. Celle la meme qui lui avait modru la levre. 2 femmes, 2 rousses, 2 problèmes...

Ariel avait dû picoler sacrément pour qu'un gaillard comme lui continue pionser ainsi. Zoko ne savait toujours pas quoi faire, il regardait Odile de temps en temps et l'aperçu sortir quelquechose de sa jarretière sans savoir ce que c'était. Sans Ariel pour jouer les médiateurs, la situation pourrait dégénérer rapidement...

La pie après n'avoir croisé personne à la bonne chopine, se dirigea vers une autre taverne où il semblait reigner une bonne ambiance:

il ouvrir la porte et appercu de vielles connaissances. Il était heureux de voir que des choses n'avaient pas changé ici...Il remarqua aussi de nouvelles têtes...

il fit signe au tavernier de lui porter une bière et se dirigea vers Zoko...

Bonsoir l'ami...

N'en pouvant plus de retenir sa rage et sa colère, malgré tout ce qu'elle s'était promis, Odile saisit sa dague et se rua sur Zoko en hurlant :

Sale chien !

La lame en avant, elle ne blessa pourtant pas Zoko qui, la voyant arriver, lui saisit le poignet pour retenir l'arme.

Mécréant! Je vais te trouer comme tu l'as fait avec moi !

La jeune femme n'était plus elle même et seul le désir de se venger l'animait.

Brigand en herbe Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 20/06/2007

Voyant Odile se ruer sur Zoko, Amarezza sourit et pense :"Il n'a pas de chance ce paysan!!! Les rousses ne l'aiment pas ou l'aiment trop!!!"

La jeune femme sort de l'ombre et d'une voix claire dit :

"Voulez-vous de l'aide, Messire!!!"
"Les femmes ont des comptes à régler avec vous ce soir!!!"

Amarezza éclate de rire;

Quelques secondes passent, Amarezza reprend son air froid et triste fixant la porte.

Scribe officiel Nombre de messages : 625 Date d'inscription : 09/10/2006

Tout en saluant La Pie qu'il n'avait pas vu depuis trop longtemps, Zoko ne perdait pas Odile de vue, elle semblait de plus en plus agitée.

Tout à coup, elle se rua sur lui dague au point. Mais la jeune femme n'avait rien dissimulé de son attaque et Zoko l'attrappa facilement par le poignet.

Du calme jolie Dame...

D'une pression bien placée sur le poignet de la jeune femme, il lui fit lacher la dague.

Tu ne devrait pas jouer avec ce genre d'outil, c'est dangereux tu sais...

Il fixa le regard noir d'Odile. Lui n'avait aucune haine dans son regard.

Trève de plaisanterie, nous sommes des gens sérieux et civilisés, et dans un lieux public, on sait se tenir. Assieds-toi et écoute ce que j'ai à te dire.

Zoko s'assit calmement, ne quittant pas la jeune femme des yeux visiblement pas calmée du tout. Un court instant, il se tourna vers La Pie :

Désolé l'ami, il y a des affaires qui ne peuvent attendre, et si cette gente Dame m'en laisse le loisir, on pourra picoler et discuter tranquillement rapidement.

Puis vers l'autre jeune femme rousse :

Quant à vous Mademoiselle, j'ignore ce que je vous ai fait, mais il va falloir prendre votre tour... Et vous avez de la chance, je ne poignarde plus les jolies rousses dans votre genre, quoique dans votre cas je suis prêt à faire un exception...

En attendant, Odile, je vois que tu ne m'as pas oublié. Le contraire m'aurait étonné, et saches que moi non plus je ne t'ai pas oublié. Je ne regrette pas d'avoir manqué mon coup cette nuit là. Je regrette juste de l'avoir porté. Je ne te demande pas de m'excuser, ne te méprend pas à ce sujet, je doute que tu puisses un jour me pardonner, et à vrai dire, je le comprends très bien. Simplement les temps changent et il y a maintenant bien longtemps que j'ai compris mon erreur cette nuit là. Comme tu le vois, Ariel, enfin ce qu'il en reste pour le moment,(Zoko souleva le bras de son compère et le laissa retomber dans un bruit sourd sur la table tel un bras sans vie) ne m'en a pas tenu rigueur, et il est même venu me demander si je ne savais pas où te trouver... Curieuse situation n'est ce pas ?

Zoko reprit son souffle.

J'ignore ce que tu sais de cette nuit là, si tu sais que c'est lui qui t'a soigné avant de disparaître de nos vies. Oui il a complètement disparu, je l'ai cherché partout, probablement autant que toi, en vain...

Si tu as des questions, je suis disposé à y répondre, à moins que tu ne veuilles que m'égorger, ce que je conçoit. J'ai tiré un trait sur mon passé et tout ce qui s'y rattache. Ce soir je règle mes comptes comme a dit la dame et puis Dieu seul sait ce que je ferai demain...

La pie ne s'était pas trompé, cette auberge était visiblement très bien animée, tant mieux, il avait besoin de voir du monde après sa longue retraite médicale

Voyant zoko en si bonne compagnie féminine, il s'éclipsa le saluant avec un sourir en coin plein d'arrières pensées

Bon courage l'ami, je te comprends, il y a vraiment des choses qui n'attendent pas

Puis se dirigeant vers une table plus calme, il se demanda comment pouvait faire un homme pour avoir autant de succés avec de si charmantes dames...Pensif, il commenca à siroter sa chopine

Brigand en herbe Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 20/06/2007

En entendant les mots de Zoko, Amarezza lui sourit tristement.
Quant son attention fut attiré par le bruit de la porte s'entrouvant. Derrière celle-ci, Amarezza aperçoit sa meilleure amie Mortizzia, le front ensanglanté, lui faisant signe de sortir.

Amarezza se lève et dépose quelques écus sur la table.
Elle se dirige vers la porte mais s'arrête quelques secondes fixant pour la dernière fois ce paysan qui lui rappelait tant de souvenirs.

Le regard de la jeune femme devient glacial. Elle quitte ce lieu qui lui rappelle tant celui de son passé.

Odile se sentit encore plus folle de rage que Zoko ait pu la maîtriser. Elle l'écouta pourtant, attentivement, et lorsqu'il eut finit, pour seule réponse elle lui lança un soufflet à la figure.

Jamais, non jamais, n'attends de moi que je te pardonne, maugréa-t-elle.

Puis elle regarda Ariel, qu'elle avait tant cherché et qui à présent, ne pouvait même plus ouvrir les yeux.
Dis-lui que s'il ne m'a pas oubliée, il n'a qu'à me chercher.

Et elle s'en fut par la porte de derrière. Au passage, elle salua la Pie et Bloodscream.

La tigresse s'était contentée jusque là d'observer sans rien dire...Elle était assez douée pour se faire oublier ,mais elle n'avait put retenir un sourire quand aux ennuis de Zoko...

Elle jetta un coup d'oeil vers l'endroit où Envy était,mais de toute évidence,il s'était encore éclipsé...un problème de moins se dit la jeune fille...Elle porta à nouveau son regard sur Zoko,sursautant en entandant la porte claquer sous la colère d'Odile...

Dis-moi, Zoko, c'est moi ou les rousses sont tes bêtes noire!

Nan,franchement,qu'a tu fait à toutes ces filles pour qu'elles t'en veulent toutes à ce point?Tu n'es pas le genre de gars sur qui une fille se ferait les dents en temps normal...enfin...moi,ça me dirais bien,mais pas dans le même contexte...Mais j'aurais plutot immaginé qu'elles te feraient du charme...

Elle fixa Zoko dans les yeux,un sourire amusé aux lèvres...Elle repensa à ce qu'il avait dit à Odile et rajouta

A propos de régler des comptes...je te dois quand même un fière chandelle...Y aurait-il un moyens de rembourser ma dette?

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