Tournée générale !

Scribe officiel Nombre de messages : 625 Date d'inscription : 09/10/2006

Odile disparu aussi vite qu'elle était venu, et le malaise de Zoko avec. La seconde rousse en avait fait de même, les problèmes s'éliminaient d'eux même apparemment.

Zoko esquissa un léger sourire aux paroles de Mitsune...

Ne te fie pas aux apparences, certaines savent ce qu'elles risquent en me faisant du charme, et ça ne les attire pas vraiment... Disons qu'il y a des risques dont je ne suis même pas responsable...

Il sourit.

Quant aux comptes à règler, tu ne me dois rien disons que je t'ai gracieusement rendu service, et qui sait, peut être qu'un jour j'aurai besoin de toi, et je sais que ce jour là tu ne me fermeras pas la porte. La seule chose que je te demande, c'est d'arrêter de fixer mon cou ainsi. Laughing

Il fit un clin d'oeil à la Tigresse.

On peut peut être envisager une collaboration si ça te tente... On en avait parlé une fois il y a bien longtemps, mes plans on changé, mais je reste ouvert aux associations.

Zoko jeta un regard à La Pie qui s'était mis plus en retrait. "Que d'anciens en ce moment se dit-il..." Puis regardant Ariel :

Quelqu'un voudrait bien m'aider à le monter dans une chambre le sac à vin ? Au moins il cuvera tranquillement et ça évitera qu'il tache le parquet de la salle commune en se réveillant Rolling Eyes

.

Il passa son bras sous l'épaule d'Ariel et entreprit de le porter, espérant que quelqu'un vienne l'assister.

La pie entendit la requète de zoko et cela le fit sourir... Décidément peu de chose avait changée ici... Le calme revenait aussi vite que la tempète se lève...
J'arrive dit-il à Zoko, en se levant pour l'aider à monter Ariel.

Brigand en herbe Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 20/06/2007

Rejoignant Mortizzia, Amarezza la soigne. Voyant que son amie allait mieux, elle lui murmure : "J'arrive. J'ai oublié d'accomplir quelque chose en taverne." Amarezza sourit.

Elle entre et se dirige vers Zoko.

"Messire, vos mots m'ont interpelé. Vous ne m'avez rien fait mais vous me rappelez tellement ... quelqu'un de mon passé."

"Que faites vous ici. Entouré de ces personnes!!!"
"Vous recherchez l'aventure. Je vais vous en donner."

Amarezza frole ses lèvres.

"Quel chance j'ai eu!!!!", rajouta la jeune femme en souriant au paysan surpris par ces mots.

Amarezza vole un baiser au jeune homme, ensuite lui glisse à l'oreille : "Après ce geste, je suis prête à être l'exception mais j'aurai eu ce que je voulais".

Amarezza regarde le jeune homme avec un sourire narquois.

Scribe officiel Nombre de messages : 625 Date d'inscription : 09/10/2006

Zoko était resté coi devant l'attitude d'Amarezza, il avait même failli lacher Ariel... De sa main libre, il saisit le poignet d'Amarezzia, de la même façon qu'il avait saisi celui d'Odile quelques minutes plus tôt. Il l'attira près de lui et cette fois c'est lui qui lui chuchottait à l'oreille :

Tu ne perds rien pour attendre...

Il se dirigea donc vers l'escalier en compagnie de La Pie avec Ariel sur le dos et le déposa dans une chambre.

Brigand en herbe Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 20/06/2007

Amarezza, curieuse de connaitre la réaction du paysan, s'assie au fond de la taverne dans un coin sombre fixant les escaliers.

Les mots que le jeune homme lui a murmuré à l'oreille retentissent dans sa tête.

Amarezza commande un rhum qu'elle boit cul sec pour se donner du courage.

Elle voit le jeune homme descendre et le regard de la jeune femme se glace.

Mais ce paysan paraissait si calme qu'Amarezza garde un air serein en le voyant.

Scribe officiel Nombre de messages : 625 Date d'inscription : 09/10/2006

Après avoir déposé son ami dans une chambre, Zoko redescend dans la salle commune. Amarezza s'est assise au fond de la taverne et Zoko se dirige vers sa table. Il sourit à Amarezza en s'approchant et passe derrière elle, posant ses mains sur ses épaules. Il remonte ses doigts sur le cou de la dame et de son autre main sort une dague qu'il vient plaquer contre sa gorge. Puis il lui chuchote dans l'oreille :

Qui vous dit que vous êtes le genre d'aventure que je recherche ? Vous vous exposer là à la jalousie d'une femme qui ne vous laissera pas la vie sauve aussi simplement que je peux le faire.

Zoko fit doucement glisser la lame de sa dague contre le cou d'Amarezza, juste de manière à faire couler un filet de sang.

Décidément,il en avait des ennuis avec les rousses ce pauvre Zoko...Mais bon, c'est un grand garçon...

La jeune fille fixa le brigand et esquissa un sourire amusé en le voyant avec Amarezza...Joli cou quand même...joli tout aussi,mais ça c'est autre chose...Elle se demanda vaguement si la température de son sang variait comme son caractère...froid et bouillant...
N'ayant pas la réponse à cette dernière question,elle se contenta de sortir une fiole contenant un liquide translucide et la vida d'une traite du liquide brulant et sucré qu'il contenait...

Puis,elle observa les brigand de la taverne tout en tachant de bien se faire oublier...L'invisibilité n'est pas un pouvoir,mais un savoir faire...Elle espéra tout de même que Zoko reviendrait à sa table...rester seul est tout de même assez ennuyeux...et puis,il y avait toujours quelque chose d'intéressant à proximité de cet homme...

Brigand en herbe Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 20/06/2007

Amarezza voit Zoko se placer derrière elle, sentant la lame de la dague glisser sur sa peau, elle pense un bref instant : "j'espère qu'il ne me ratera pas parce que moi, je le manquerai pas."

Sentant le sang couler, la jeune femme attrape le poignet du paysan et le désarme. D'un geste vif, elle lui entaille le visage.

Amarezza touche son cou ensuite frole ses lèvres du bout des doigts.

Le regard froid mais un sourire narquois, elle dit :"Je n'ai point peur des femmes jalouses et encore moins de mourir et je prends ce qui me fait plaisir sans jamais demander."
"Votre visage portera ma marque jusqu'à la fin de votre vie".

Amarezza regarde le jeune homme, le visage en sang.

La tigresse commençait à en avoir assez de ces cimagrès d'enfants...Elle se leva et attrapa Zoko par le col et le traina jusqu'à sa table où elle l'assit sur une chaise et lui cala une chope de bierre entre les main,sans lui laisser le temps de protester...Puis,après un regard vague vers la rouquine,elle regarda Zoko avec le regard le plus noir qu'elle pouvait...de quoi faire peur à certains,et s'écria

Franchement,tu devrais laisser tomber!T'es plus un gosse,bordel!
Tu sais très bien qu'aucun de vous ne voudras laisser le dernier mot à l'autre!

Alors,maintenant,tu reste là sans bouger,et tu bois cette bierre!!!

Elle avait employé un ton catégorique qui paraissait un peu déplacé chez elle et qui serait mieux allé à une mère en train de gronder ses enfants qui se disputent,mais au moins,cela eut l'effet d'une douche froide sur la taverne...Le silence se fit un peu plus et personne ne regarda plus vers elle,les nez plongés dans les choppes,certains riant sous leurs cape,se réjouissant que ça ne soit pas tombé sur eux...

Elle se rassit rageusement,furieuse,sans savoir parfaitement pourquoi...Elle finit par sortir un mouchoir et essuya nonchalamant la joue saignante de Zoko en murmurant pour elle-même

"Votre visage portera ma marque jusqu'à la fin de votre vie"...Pfff!!!
Quel idioties...ça mettra moins de trois jours à disparaitre...c'est pas le genre de coupure à laisser des cicatrices...franchement...

La pie descendait enfin de l'étage quand il entendit une femme crier...
Et ben dit donc pensa-t-il la soirée ne va pas encore être de tout repos...
Au moment où il arriva dnas la salle commune, il vit une autre jeune femme essuyer le visage ensanglanté de Zoko....Mais quel succé cet homme, doit pas être facile tous les jours pour lui...
La Pie adressa un sourir plein de sous-entendu à Zoko et se glissa ensuite au comptoir pour siroter une nouvelle chopine...

Un léger coup avait retenti dans la taverne Méphistophélès venait d’y rentrer subrepticement, il s’installa à une table et commanda une chopine, il revenait au brigandage à la source après avoir tourné dans les milieux politicard.
Il savait que se remettre dans le bain ne serait pas chose aisée mais lui un des vieux de la vieille du brigandage il saurait se remettre au goût du jour, une nouvelle vie commençait pour lui, mais une vrai vie pensa t’il.
Il se dit qu’il était étrange que lui qui a fait pendre tant de brigand se retrouve assis à cette table dans cette taverne aujourd’hui, il regarda autour de lui et écouta discrètement les conversations.

Brigand en herbe Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 20/06/2007

Amarezza surprise par la passivité de Zoko à se laisser materner par la Tigresse. Elle murmura si doucement quelques mots que personne ne put l'entendre : "L'homme de mon passé avait du cran lui!!!"

Après cette scène, la jeune femme comprit qu'il était temps de partir, elle allait retrouver son amie et chercher d'oublier son passé ailleur.

Amarezza sortit de la taverne sans aucun regret.

Méphistophélès sourit à cette scène et se dit que décidément les jeunes gens était plein de frivolité il regarda sa bourse et vit qu’elle commençait à baisser de volume bien qu’il restait à l’intérieur un nombreux conséquent de pièce trébuchante.
Il commanda une tournée générale sur son compte au tavernier et sourit à l’estafilade que la jeune femme avait fait au dénommé Zoko.
Ah les femmes nous perdent tous et que Zoko n’avait eue qu’un avant goût de ce que pouvait représenter la douloureuse joute avec la gente féminine.

Scribe officiel Nombre de messages : 625 Date d'inscription : 09/10/2006

Zoko avait été surpris de la réaction de Tigresse, si bien qu'il n'avait pas bronché. A peine avait-il vu Amarezza claquer la porte de la taverne.Un problème de moins se dit-il. Puis il éclata de rire, sans trop savoir s'il riait vraiment ou juste nerveusement.

"Merci pour le coup de main Tigresse, j'aimais pas l'idée de l'égorger..."

Il eut un petit sourire puis vida sa chopine d'une traite. Alors il fit signe à La Pie de les rejoindre et commanda une tournée pour sa tablée.

Leroy revint dans la taverne, étonnamment bronzée et la bourse bien garnie après trois jours fastes. Il se dirigea directement vers Zoko aux cheveux si particuliers, lui offrir une bière serait la moindre des choses qu'il pouvait faire pour lui.

Eh bien vieille branche, tu te remets bien ?

Se tournant vers le comptoir : Tavernier, amène deux bière, mais de la bonne, pas de la cervoise tiède.

La dernière campagne était très fructueuse, dommage pour toi fit Leroy à l'attention de Zoko tout en faisant rebondir sa bourse dans sa paume, laissant entrevoir la somme mirobolante gagnée ces derniers jours.

La Pie se joint à zoko suite à son invitation. Pour un retour, que de choses ici...Chopine en main, il allait s'assoir quand Le roy arriva et commanda lui aussi une tournée...

Que de bière dites moi! .. Je n'ai pas autant de chose à raconter... par contre beaucoup à réapprendre. Mon abscence suite à une longue période de retraite ma coupé du monde, litérralement...

La pie sortie alors sa main gauche de sa manche, il manquait 3 doigts....

La jeune fille esquissa un sourire et se décida même à boire un peu de bierre,ce qui était totalement à l'encontre de son habitude...Après tout,elle n'allait pas continuer à faire la tête à Zoko alors qu'il ne lui en voulait pas de s'etre mêlée de ses affaires.Elle lui fit un petit clin d'oeil et répondit avec un sourire taquin

Mais de rien Zoko!
C'est toujours un plaisir pour moi d'éloigner les jolies gazelles qui te tournent autour!

Elle regarda La pie et Leroy avec interêt...Deux saints patrons du brigandage à sa tablée,on voit pas ça tout les jours!
Elle esquissa un petit sourire à leur intention,mais décida de ne pas trop se faire remarquer quand même...

Scribe officiel Nombre de messages : 625 Date d'inscription : 09/10/2006

Zoko trinqua avec tous ces compères, même Tigresse qu'il n'avait jamais vu boire de bière. Un petit sourire à Leroy, plein de sous entendus.

"Oui, je me remets bien, j'avais juste un peu faim, mais pas d'égratinures, donc tout va bien."

Visiblement, La Pie n'avait pas toujours eu cette chance de s'en tiré sans souci.

Zoko rougit légèrement aux paroles de la demoiselle se se promit intérieurement de ne plus laisser de femme lui créer des problèmes comme ça a pu être le cas par le passé. Puis il reprit envers Leroy :

"Oui la chasse a été bonne pour toi on dirait, mais ne t'inquiète pas, je n'y ai pas laissé grand chose... Quelque chose de prévu pour la suite ?"

[HRP] désolé pour le silence, j'étais en vac...

Bloodscream faisait de son mieux pour rester totalement calme, mais après l'angoisse lors de l'inévitable confrontation Odile/Zoko, l'amusement devant celui contre l'autre rousse, amusement qui finit bien vite en agacement, stupeur à la réaction de Tigresse, sans compter sa prpre impulsivité, ça commençait à faire beaucoup pour son malheureux crâne et c'était loin d'être agréable. Puis, lorsque Zoko affirma qu'il ne voulait pas égorger Amarezza, il sourit puis lui dit avec un sourire féroce.

Si tu veux, je m'en charge. Je crois bien qu'elle a besoin d'une petite leçon de... politesse. A la Bloodscream, ça va de soit.

[HRP] dsl vacances

Personne ne remarquait la présence de Nightmare, il était isolé dans le coin le plus sombre de la taverne. Juste son oeil rouge, reflétant sa haine, se voyait. Mais son énorme épée ne laissait pas le tavernier indifférent, Nightmare recommanda du rhum :

"encore une bouteille de rhum !"

Le tavernier prit peur en entendant la voix de "l'armure sans âme" (comme certains l'appellent) et en tremblant, fit tomber la bouteille.

Tout le monde se retourna vers Nightmare qui se leva vers le comptoir.

Leroy sursauta en entendant un rustre hurler sa commande, faisant peur au craintif tavernier.

Hé là rustaud ! Tu t'crois où ? T'es dans un endroit civilisé ici, va dehors si t'as besoin de crier ou de déverser ta frustration ...
D'ailleurs, le tavernier a pas d'rhum, tout ce qu'il sert, c'est de la bibine.

Il se tourne ensuite vers Bloodscream, qui venait d'arriver.

Eh bien Bloody, assieds-toi donc et prends un bière avec nous, je suis sûr que tu as plein de choses à nous raconter ...

Se retournant vers Leroy, Nightmare lui dit :

Je ne veux aucun mal à ce pauvre tavernier, j'ai juste demandé une bouteille de rhum mais je vois que ma réputation m'as précédé.

"L'armure sans âme" s'attabla de nouveau dans son coin sombre avec la chope qu'il avait prise sur le comptoir.

Tigresse haussa un sourcil et esquissa un sourire en entandant les plaintes du type qui devait cuire dans son armure comme dans une cocotte minute.Elle ne put s'empécher de se dire à elle-même,mais assez fort pour que la tablée l'entende

Je me demande de quelle réputation peut bien parler cette marmite ambulante...En tout cas,je n'avais jamais entendu parler d'une ferraille aussi bruyante!

Elle finit de vider sa chope et fixa Leroy de son étrange regard verron,assez intriguée par sa réputation à lui qui n'était plus à faire...Puis,elle reporta toute son attention sur Zoko...C'était quand même lui qui avait le privilège de l'intriguer le plus...ou plutot de lui faire douter tout le temps de ce qu'elle pensait de lui...

Elle ne remarqua même pas que machinalement,elle s'était mise à se mordre l'indexe et à en suçotter le petit point de sang...

La pie entendit la réflexion de Tigresse et ne put s'empêcher de lui répondre:

"l'eau de mer ils ont voulus le faire bouillir comme une écrevise, tout rouillé il est. Pas très pratique pur brigander une telle armure, enfin chacun sa méthode..."

La pie voulu alors prendre un nouvelle georgée, mais son verre était vide..."Zut..."marmona-t-il....

Bloodscream sourit à la remarque de leroy concernant... heu... l'armure bruyante... puis le salua et accepta volontiers son offre.

Ca pour sûr, il s'est passé pas mal de choses. Et la taverne me semble toujours aussi animée... Apparement, je ne lui ai pas trop manqué !

Puis il commanda une tournée pour tous ceux présents à la table.

Alors, pour résumer, on est allé chercher un trésor, dans notre magnifique aventure on a dû se battre trois ou quatre fois contre des gardes énervés, une fois contre une autre troupe de brigands, et j'ai même dû me battre contre le plus fort d'entre nous. En gros, au total j'ai dû prendre plus de coups dans cette aventure qu'un un mois de pratique de... notre métier. Tout ça pour pas grand chose, à vrai dire, je n'ai rien gardé, tellement le butin était petit. Et toi, tu as fais quelque chose d'intéressant ces derniers jours ?

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