[RP] La route du trésor

Les deux compères avaient passés la journée à discuter de tout et de rien autour de la table. Pendant un court moment de la journée, ils avaient fait des repérages, quelques achats vestimentaires mais ils avaient été vite de retour pour ne pas manquer une nouvelle tournée du patron.

Serrallonga avait quelque peu abusé des différentes substances que cette taverne pouvait offrir.

- Hé ... Blood ... Bon alors on va vraiment se déguiser en cureton ... D'un autre côté *hips*, ça permettra de dissimuler des armes...

...
Qu'est ce que je disait déjà ? Ha oui ... Odile... Elle est vraiment ...
Sa tête vacilla puis après une chute rapide heurta la table, il se releva écarquillant les yeux comme pour essayer de reprendre ses esprits.

- Et toi là bas ! Pourquoi tu me regardes comme ça ?!

Arrivée devant la planque de Yan, Odile fut étonnée d'être la première à la découvrir, mais ne s'étonna point du discours tenu par le brigand.

Des loups ? Ici ?

Elle planta son regard dans le sien en tournicotant une mèche de ses cheveux et sourit d'un air coquin.

A d'autres ! Tu me crois sortie du couvent ou quoi ?

Et elle éclata de rire à gorge déployée. Mais devant la mine apparemment défaite de Yanhamu, elle ajouta d'une voix douce en se rapprochant de lui :

Allez, dis-moi plutôt le fond de ta pensée. Tu ne m'as pas seulement amenée dans ces bois pour mes montrer la nature et ta planque, n'est-ce pas ? De quoi as-tu vraiment envie ?

Elle caressa alors son long visage émacié par la fatigue de sa main gauche et effleura du bout des doigts ses lèvres.

Bandit international Nombre de messages : 320 Date d'inscription : 09/12/2006

Mon intention premiere est tout a fait honorable! dit yanhamu en rougissant, Mais il est vrai que je vous trouve belle et rayonante et je n'ai d'yeux que pour vous depuis que nous avois croisé regards ensemble.

Yanhamu Ouvra la porte de sa cabane. elle etait certe rudimentaire, mais le lit etait confortable () et il y avait des vivres pour quelques jours.

Tout a coup, Yanhamu saisit odile et l'ammena dans un petit coin abrité de la foret. un magnifique coin avec des fleurs et tout pleins d'autres choses belles de la foret... il se mit a genouls et attrapa la main d'odile, il se mit a lui ouvrir son coeur en exprimant ce qu'il ressentait.

Vous, chere Odile, etes le soleil qui eclaire en ce moment mon destin.
Vous, chere odile, avez-su ouvrir les portes de mon coeur
Laissez moi vous decouvrir en cette heur'
laissez moi me decouvrir et laissez moi enlever votre chagrin

Vous etes une fleur parmi tant d'autres
a l'exception prés que vous etes la plus belle
cougageuse, robuste, rusé, je serais etre votre
je serais bon, loyal, aimant et jamais infidelle

Tant de choses a decouvrir dans ce vaste monde
des beautées inimaginables, mais aussi des choses immondes
je serais vous proteger, etre toujours la a vos cotés
pour qu'ensemble, nous soyons unis de par ces gestes.

Yanhamu rougissait et rougissait encore...

Odile rougissait et rougissait encore.

Jamais un homme ne lui avait fait telle déclaration ! Si enflammée, si passionnée, si sincère ! Etait-ce seulement possible qu'un homme soit emporté d'un tel élan ? Elle, la prostituée, la gueuse, la voleuse, la menteuse. Elle avait cru que Yanhamu la coucherait sur l'herbe, lorsqu'il l'avait attrapée par le bras ainsi.

Ses mots étaient doux et tendres. Son regard empli de tendresse et... d'amour ? Il lui serrait la main. Il semblait si sincère. Odile balbutia :

Yan... heu... c'est... c'est si... soudain... hum... je... heu... Yan... je ne sais que répondre...

Elle eut soudain peur de froisser cet homme que rien apparemment ne semblait pouvoir froisser.

Je... je ne vous imaginait pas... jamais je n'aurais imaginé que tu... La première fois que tu t'es joint à nous, je me suis toujours demandé pourquoi. Tu ne cherches ni gloire, ni fortune, ni pouvoir. Que cherchez-tu réellement ?

Moi ? se demanda-t-elle.

Bloodscream, qui avait entiérement repris ses esprits, observait le comportement de Yanhamu et de Serrallonga. Les deux semblaient evoûtés, ensorcelés. Décidement, combien allait-elle en perdre comme ça ? Et en avait-elle déja perdu ? Si ça continuait comme ça, il deviendrait le seul homme sensé dans ce groupe. Et, trouver Bloodscream sensé, ce n'était pas une mince épreuve. Il attendit que Serrallonga soit ivre mort pour enfin lui fausser compagnie.

Cependant, il ignorait encore la façon de procéder. C'était sans véritable but fixe qu'il se dirigeait vers la forêt, armes aux ceinturon...

Bandit international Nombre de messages : 320 Date d'inscription : 09/12/2006

je cherchais l'aventure, puis je t'ai vu toi, et je suis sur que ce serait la plus belle aventure de ma vie.

Yanhamu parlait avec une franchise rare de nos jours. il faut dire que l'endroit etait propice a de telles choses. loin de tout et de tous , ils etaient a plusieurs kilometres de paris et nul ne pouvait les rejoindre.

Le soleil se coucha offrant un magnifique coucher-de-soleil (vous vous attendiez a quoi?..) derriere Yanhamu et Odile.

Bientot des hurlements lointain se firent entendre. les loups etaient a des dizaines de kilometres et on arrivait pourtant a les entendre!...

Yanhamu regardait odile en etant comme envouté. Ce grand gaillard, ce barbare sanguinaire et violent aurait-il un coeur d'or, passionné et fidele, vivant les rares instant de bonheur et d'amour qu'il avait du avoir pleinement en tentant de profiter de chaque instant avec sa bien aimé?... surement...

Odile rougit et détourna le regard. Elle n'était pas sûre de partager les mêmes sentiments que Yanhamu. Elle lui lâcha la main et marcha quelques pas, tout près, pensive.

*Voyons Odile, pense au trésor ! Le trésor ! Après... après tu verras bien... Oui mais quand même. Aucun homme ne m'a jamais traité comme ça. Même pas le Marquis. Lui au moins semble me respecter... Non non ! Ca suffit tes enfantillages de pucelle effarouchée !*

Odile se prit la tête dans les mains et soupira.

Yan. Le seul homme jusqu'à aujourd'hui dont j'ai jamais été amoureuse... vraiment amoureuse, c'était... (soupire) Marcus... Oui, je sais ce que tu peux penser. Mais il n'était pas comme ça quand je l'ai connu. Il était protecteur, rassurant, doux...

Depuis, l'amour n'a été pour moi que souffrance ou luxure et... et mon coeur s'est sans doute un peu refermé avec le temps. Ne t'attends pas à une grande romance avec moi. Je ne suis pas une fille bien. Mais si tu peux me réapprendre à aimer... peut-être que...

Elle s'arrêta là, ne pouvant se dévoiler danvantage.

Serra tourna la tête vers la chaise de Bloodscream pour chercher un soutient. En effet, ils étaient trois gaillards attablés à quelques mètres et ils n'avaient pas l'air d'avoir apprécié les quelques jurons que l'homme au chapeau venait de leur balancer.

Seulement voilà, Blood n'était plus là...

*C'est bien ma veine tiens... Seul, éméché et contre trois... Vais prendre une belle rouste mais bon.*

Cette pensée disparu aussi vite qu'elle était venue. C'était l'avantage de l'alcool : rendre inconscient et ainsi éviter de passer par une phase où la peur prend le dessus.

- Allez ! V'nez un peu par ici estafadors de pacotilla ! Vous allez apprendre ce qu'est le respect... même si *hips* cela doit vous rentrer par les trous de ...

A trop parler, on ne voit pas le coup venir. Une chope venait en effet de l'atteindre en plein tempe.
Sonné un moment, il rouvrit les yeux pour voir les trois bonshommes bien plus près qu'auparavant. Serra attrapa une chaise et la balança sur le premier. Il chargea le second en espérant que le troisième serait un peu plus long à réagir.

... Décidément, il fallait dessaouler au plus vite sinon c'était la branlée assurée.

Bloodscream improvisait un plan au fur à mesure qu'il se dirigeait vers la forêt.

Il y arriva puis, voyant que les arbres étaient pour la plupart assez grands et pas très espacés, il fit comme au bon vieux temps où il était obligé de bien préparer son embuscade pour s'en seortir contre ses victimes : il grimpa dans un arbre, et se débrouilla pour passer de l'un à l'autre, tout en surveilant la route. Il continua ce petit jeu pendant une quinzaine de minutes, et distingua deux silhouettes plus loin.

Il s'approcha le plus furtivement possible. Il avait bien fait de mettre une tunique verte...

Bandit international Nombre de messages : 320 Date d'inscription : 09/12/2006

Odile, Nous avons eu tout deux des histoires tristes et sinistres, mais ce n'est pas pour ca qu'il faut cesser de croire en l'Amour! Pourquoi 2 personnes qui s'aiment ne pourraient-elles pas vivre heureuse? A cause de leurs passé respectifs? je doute!

Avant toi, je ne pensais plus pouvoir aimer, jamais. J'ai été trahi et denoncé par la femme que j'aimais et j'ai fait sept ans de prison et je peux te dire qu'une telle durée change un homme! la prison assombrit le coeur et assombrit l'ame. En sortant de prison, cette meme femme, en me revoyant s'est donné la mort m'accusant dans une lettre, aprés ca, je me suis juré de ne plus jamais aimer.

Mais en te voyant, mon coeur s'est remis a battre et j'eprouve des sensations que je n'avais pas eprouvé depuis bien longtemps! je t'aime odile, et ce de tout mon coeur. Si tu ne le veux pas, alors je te laisserais car c'est aussi ton choix de m'aimer ou non.

Ils etaient la. la belle et la bete, dans cette prairie au milieu des bois loin de tout chemin et de toute vie humaine. l'air commencais a etre frais, les oiseaux nocturnes entraient petit a petit en action et le soleil s'eteignait, au loin, par dessous les arbres...
Yanhamu rentra dans un long monologe sur l'amour et ses attraits...

Odile ne voulait pas s'engager. Elle voulait rester libre, sans attache. Et bien qu'elle ne fut pas amoureuse de Yan, elle ne le haïssait pas pour autant. Elle l'interrompit bientôt dans ses mots, plaça un indexe sur sa bouche et murmura :

Viens, j'ai envie d'amour ce soir.

Elle l'attira dans la petite cabane, comme il faisait nuit. Ce soir, elle voulait qu'on l'étreigne, non pour la tuer, mais pour la rassurer, l'aimer. Demain serait un autre jour, une autre aventure. Demain le trésor, ce soir Yan.

Elle s'allongea par terre et l'attira à elle. La lune apparut alors dans le ciel, et une à une les étoiles, et les hululements des hiboux et les cris des bêtes.

Bloodscream s'approchait de plus en plus prusemment. Soudain, il lui parut qu'ils avaient disparus dans la végétation. Regardant plus attentivement, il aperçut... Une cabane ! S'il n'avait pas fait si attention, il ne l'aurait même pas remarqué.

Bon, à présent, il falait être imaginatif. Il se dissimula dans un buisson, et vida son sac...

" Celui-là, non. Lui non plus. Pas çui-là j'pense. Ah quand même ! "

Il prit ENCORE un autre masque, qu'il portait pour la première fois, puis continua à chercher dans son sac...

Odile était allongée, presque nue, sur la paillasse de la cabane, à côté de Yan. Elle avait les yeux fermés mais ne dormait pas. Yan lui murmurait des mots à l'oreille. Elle sourit.

Elle enroula une mèche de cheveux autour de son indexe, jouant de l'autre main avec son ventre et son nombril.

La nuit était douce et chaude. Odile en avait peu connu d'aussi calme que celle-ci. Aussi apaisante et tendre depuis très longtemps.

Bandit international Nombre de messages : 320 Date d'inscription : 09/12/2006

Yanhamu prenait soi d'odile comme d'une poupée en porcelaine, faisant attention a chacun de ses mouvements. des va et vien incessants qui firent fremir la jeune femme.

Il lui murmurait des mots doux, aimant sa belle jusqu'au plus profond de soi...

[hrp]
(pas doué pour ces parties de rp, si on me lance la dessus normalement, ca devient vite erotique, donc je prefere m'arreter la en esperant ne pas etre allé trop loin[/htp]

Odile et Yanhamu en était là, quand soudain, la jeune femme crut entendre un bruit dehors. Elle essaya de ne plus y penser. La chaleur et la douceur de son amant de la nuit la réconfortaient et la réchauffaient.

Alors, une ombre passa devant la lucarne de la cabane, et cette fois, Odile ne put l'ignorer. Elle repoussa doucement le jeune homme et se redressa sur son céant, observant la lucarne.

Tu l'as vue ?.... L'ombre ? J'ai entendu du bruit et je crois avoir vu quelqu'un passer dehors.

Elle se leva, se rhabilla et poussa la porte de la cabane. Tout était noir dehors. Elle ne voyait pas grand chose, mais son poignard la rassurait. Soudain, un bruit étouffa l'enveloppa et elle se sentit plaquée au sol par un homme. Elle se débattit, arracha du visage de l'homme un objet, un masque il lui sembla, quand soudain elle entendit une voix familière :

Bloodscream ?

Bandit international Nombre de messages : 320 Date d'inscription : 09/12/2006

Yanhamu Bondit d'un saut, il etait nu comme un vers. Il sortir de son fourreau posée a coté de lui son épée et charga l'homme avec une violence et un hurlement de rage..... Pas de pitié pour les imbeciles qui osaient le deranger dans un moment pareil!

Si Serra avait eu connaissance de ce qu'il se passait dans la forêt, il serait surement content d'être dans cette taverne en train de se prendre un bonne rouste...

Les chaises volaient et venaient s'éclater sur les murs, les tables ou même les clients restés pour participer.

La bagarre avait débuté par quelques échanges de coups, Serrallonga essayant d'en éviter un maximum le temps que son esprit et ses pensées soient un peu plus clair.

En esquivant l'un des compères qui l'agressaient, celui-ci fini sa course sur la table de deux indivus en pleine discussion... chose qu'ils n'ont pas apprécié.

C'est donc dans un vacarme de tous les diables et dans une confusion totale que Serra distribuait quelques mandales et en recevait au moins autant.

Bloodscream se retint de hurler de rage... Une fois de plus, il avait manqué de prudence. Tant pis, s'il le fallait, il se battrait. Il cobattit avec toute l'ardeur que poyuvait lui laisser ses blessures, même s'il savait très bien que Yanhamu risquait de prendre rapidement le dessus.

Il était donc obligé. Cette tactique, qu'il employait autrefois, mais qu'il considérait aujourd'hui comme une arme de perdant, était son seul espoir. Il falait ruser. Le mot résonnait dans sa tête, comme un signe de honte et de total déshonneur. Mais il se reprit rapidement. Il n'était pas du tout un preux chevalier où quoi que ce soit du genre, après tout. Par contre, parviendrait-il à refaire ce petit coup ? Après tout, il avait probablement perdu la main...

Peu importait. Il avisa un arbre proche, et courut à toute jambes vers lui, et entreprit de s'accrocher dircetement à une branche et de s'y hisser tout de suite après. Bon, c'était moins rapide qu'avant, mais au moins il avait plutôt bien réussi. Profitant de sa hauteur, il prit son arc et le banda vers Yanhamu.

Même si c'est rare chez moi, je ne tiens pas à faire couler le sang. Alors ne me force pas, et jette tes armes.

Il cherchait partout ses failles, et faisait de son mieux pour les rétablir.

Bandit international Nombre de messages : 320 Date d'inscription : 09/12/2006

Yanhamu etait dans une colere noire et de toute evidence n'entendait absolument pas la voix de bloodscream. l'avait-il seulement reconnu???

En 2 coups d'épée il abattit l'arbre qui lui faisait obstacle.
Sa force normale decuplait avec la colere qui l'envahissait. Son visage devenait rouge sang et ses coups n'etaient absolument pas retenu.

a vouloir les interrombre, bloodscream risque d'y laisser la vie..

VIENS DONC ME VOIR ICI SELERAT! CORNIAUD!

En voyant les deux hommes engager le combat, Odile comprit qu'il ne servirait à rien de les en empêcher, eux qui recherchaient cet instant depuis le début. Profitant de l'obscurité, Odile s'enfuit à travers les arbres, en courant à perdre haleine.

Courir. Courir. Courir encore. Que fuyait-elle au fond ? Le sang ? Les meurtres. Les hommes ? Elle-même ?

Elle était pieds nus et peu vêtue. Elle trébucha de nombreuses fois, s'égratigna les jambes, s'écorcha, se blessa. Elle courait toujours. Cette nuit, elle allait agir. Prendre le trésor. Et partir. Loin, très loin.

Après une longue course éreintante, elle arriva dans la capitale. Elle n'en pouvait plus. Par terre, elle trouva la couverture d'un mendiant, la prit et s'en couvrit. Au bout d'une longue marche rapide dans les ruelles étroites et encombrées, elle retrouva le Rat sans queue.

Serrallonga était son dernier espoir. La salle commune était jonchée de deux ou trois ivrognes cuvant leur vin et de quantité de débris de bois. Au milieu de ce champ de bataille, elle trouva Serra, à moitié assomé, à moitié endormi.

Odile se jeta sur Serra.

Serra ! Serra ! Serra, réveille-toi nom d'un chien ! Réveille-toi donc, nous allons aller chercher le trésor. Viens vite c'est le moment.

Mais Serrallonga ne semblait que peu enclin à bouger du plancher.

Odile, rassemblant le peu de force qui lui restait, le soutint pour qu'il se relève.

Bloodscream, surpris, rata sa flèche et sauta de l'arbre du meixu qu'il put. L'affrontement était maintenant inévitable. Il prit sa hache et tenta d'attaquer Yanhamu, mais il se heurtait à une défense difficile à percer. Mais pourquoi se battaient-ils, en fait ? Son ancien compagnon semblant impossible à calmer, il chassa cette question de sa tête, et revint au combat. Logiquement, la meilleure défense était l'attaque. Mais dans ce cas-là, il valait mieux attendre son adversaire. Il recula donc d'un bond, et se positionna pour recevoir une charge...

Bandit international Nombre de messages : 320 Date d'inscription : 09/12/2006

yanhamu chargea et fit une attaque un peu speciale. Bloodscream esquiva legerement, mais yanhamu lui pris le bras et commenca une toupie infernale.

Bloodscream etait desormais a la merci de Yanhamu qui le faisait tourner par le bras de plus en plus vite jusqu'as le faire totalement voler.

Yanhamu en lacha son épée et tenais desormais bloodscream par les 2 mains, le faisant aller de plus en plus vite jusqu'a le lacher et le lancer avec une force et une vitesse incommensurable.

A la suite de ca il se calma rapidement et reconnu la vois qui hurlait!

il courra pour voir ou partait sa malheureuse victime... qui planait dans les airs...

Serra était trop lourd pour Odile, et elle trop faible. Elle décida de le laisser là où il était et d'aller seule à la cathédrale.

Il faisait nuit noire. Il devait être dans les trois heures du matin quand Odile entra par une porte dérobée, dissimulée sous sa longue couverture.

Tout était calme et silencieux. Odile s'approcha de la pierre sous laquelle elle pensait que se trouvait le trésor. Comment la soulever ? En cet instant, elle se sentait totalement épuisée. Elle avisa alors un long chandelier de fer. Elle s'en empara et commença à taper de toutes ses forces. Mais rien. Décidément rien. Elle était là, telle une fourmi voulant déplacer un arbre.

Un songe... Un rêve où un ange vint lui parler. Il sentit son corps se soulever du sol et planer quelques instants. Moment magique où l'esprit est en paix.

Puis le noir... Trou béant dans la vision du futur qui se dérobe sous vos pieds.

Après quelques minutes, Serra se réveilla. Il avait un mal de crâne qui lui transperçait la tête de part en part. Les souvenirs n'étaient plus que brouillard qui se disperçe lorsque l'on s'en approche. Pourtant il restait une chose... Une personne ... Odile !

Oui elle était venu et lui avait parlé... Mais qu'avait-elle bien pu lui dire...

...le trésor
C'était bien cela ! Elle voulait aller chercher le trésor.
Mais pourquoi maintenant ? Pourquoi seule ?
Et où étaient les autres ? Déjà partis ?

Serra se releva, attrapa ses affaires et sortit de l'auberge. Il devait la rejoindre au plus vite. C'est donc rapidement que Serra se rapprocha de la Cathédrale et passa sa robe de bure pour passer les portes avec ses armes. Le faux moine profita de la relevé pour pénétrer dans les lieux.

... Le silence était pesant mais en avançant plus profondement, quelques coups répétés attira son attention.

- Odile ... C'est toi ?

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