[RP] L'Auberge au Bon Brigand

l'ombre entra comme a son habitude discretement et il dit:


je vous prend une chambre et des tonnaux de bierre.


il partis dans sa chambre ranga ses couteaux et son baton et ouvris son sac prenis la carte qui regardis et s'endormis avec.




( si vous réussisé a me voler la carte je dis ce quil y a dessus)

l'ombre en se reveillant entendit des petit bruits en bas a l'écurie il hésita a aller voir.Et puis il se débroullerons pense a le jeune brigands il sorti de sa chambre.il et descendit pres de l'écurie pour voir ce qui ce passais il ne vut rien il attendit qu'il aille plus de bruits.Mais avant il gueula:


Et sava la dedans rien de grave?

l'ombre n'entendit plus rien,alors partit en taverne sur le chemin il vut une charmante jeune femme.Et il lui demanda:jai entendu dire que vous aviez un maison de d'étente est ce vrais?

{dans les couloirs}


L'ombre,vu passer un vieillard passer dans les couloirs,qui sortait pres des écuries,ou il étais passé toute alleur.il se dit bisare j'aurais cru que personne ni étais.

[Dans les abîmes de son esprit]

Le feu. Un gigantesque incendie. De la fumée épaisse comme le brouillard. Voilà le décor de son rêve, ou plutôt son cauchemar.
Les flammes montaient à des hauteurs vertigineuses, encerclant le jeune brigand en sueur, et ne lui permettant pas de savoir où il se trouve.

Le cercle de terre épargnait par le climat calcinant n'était qu'une terre sèche et poudreuse, comme du sable.

L'adolescent leva les yeux. L'incendie semblait s'étendre dans tout ce monde du sommeil, donc impossible se traverser les flammes.

Le jeune homme tira son épée. Pourquoi ? Car il était en stress intense. Il ne réfléchissait plus, il se laissait guider par l'instinct, tel un animal blessé qui hurle à la douleur, fonçant droit devant lui, ne pensait pas qu'il est volontairement rabattu vers un autre chasseur.

Le prisonnier des flammes tourna sur lui même, essayant désespérément de trouver une brèche dans ce mur dansant, mais il était parfaitement construis.

L'air devenait irrespirable, ou plutôt absent. L'oxygène était consumé par les flammes, ne laissant vivre que de la fumée irritante.
Ko avait la gorge et les narines enfumées. Il essayait d'expirer tout ce poison, mais il n'y arrivait pas.

Quand il releva les yeux après s'être battu contre l'air ambiant, en vain, il fut effrayer de voir que l'incendie avait progressé. Le cercle avait diminué, la chaleur se faisait écrasante.

Le jeune brigand regardait la lumière intense qui lui brûlait les pupilles. Il voyait sa fin proche, jusqu'à ce que des flammes s écartent pour laisser entrer une ombre dans l'arène.

L'inconnu était encapuchonné. On ne pouvait pas voir son visage, ni son corps, ni ses armes. Mais le contraste de cette forme noire sur le fond lumière incendiaire était effrayant.

L'étranger avançait vers l'adolescent qui lui cria :

Qui es-tu ?!

La forme obscure répondit par un rire machiavélique, comme le ferait un fou. Non. Il ne riait pas, il avait éclaté de rire, comme ci le jeune brigand avait lancé la blague de l'année.

Réponds !

Cette fois, ce n'était plus ce fou qui avançait, mais Ko. Il était décidé à le faire parler, pour savoir où il était et ce qu'il voulait.

A mi-chemin, l'ombre s'arrêta subitement de rire, avant de reprendre sa position inexpressive.

Ko, mon fils, tu ne reconnais pas ton père ?

L'adolescent s'arrêta, et serra les dents. Cet esprit malsain se moquait ouvertement de lui. Il disait être son père, alors que le blondinet était mort sous ses yeux.

La ferme ! Espèce de couard ! Tu vas parler !

Le jeune brigand commença à courir, épée penchée sur le côté, pour donner une frappe latérale à son adversaire.

Ils étaient à quelques mètres quand l'inconnu glissa sa main sous sa bure. Ko comprit que c'était une arme, surement une dague, il accéléra donc sa course pour planter son épée dans les côtes de l'encapuchonné.

Le bruits des os qui craquent, se brisent, calma la colère de Ko et le calma pendant quelques instants, jusqu'à ce que le capuchon tombe de la tête du blessé, laissant apparaitre un spectacle des plus angoissants...

... C'était lui ! Il n'y avait aucun doute, mais l'adolescent n'en croyait pas ses yeux. L'homme en face de lui avait le visage d'Auguste, son père.
Cette chevelure blonde... Ce sourire sur le visage... Ces traits... Il n'y avait aucun doute possible.

Ko avait la bouche entrouverte. Il n'en croyait pas ses yeux. C'était bien lui, même si c'était impossible. Le brigand était mort à l'abbaye Noirlac, attaque dont certains Grotteux se souviennent encore.

Non... Ce n'est pas toi... Tu... Tu es mort... Je t'ai vu !

Le jeune brigand regardait, l'air toujours aussi bébête, le visage de son géniteur. Ils avaient tous les deux les même yeux noisettes.

Ko restait planté là, sans rien dire, sans rien faire, ne faisant que regarder cet homme pour être sûr qu'il était celui qu'il disait être.

Après un long moment de silence où on n'entendait que le bruit des flammes qui font crépiter les matériaux qu'elles trouvent à dévorer, Auguste parla :

Tu m'as tué...

Un puissant vent se leva, coupant la phrase et aveuglant le jeune brigand avec de la fumée. Il ne réouvrit pas tout de suite les yeux, gardant la tête baissée et la main sur le pommeau de l'épée toujours plantée.

... Mon beau Ko...

La voix avait changée. Ce n'était plus celle du blondinet. C'était une voix féminine, familière...

L'adolescent à la joue barrée par une cicatrice réouvrit les yeux et leva doucement son regard vers la tête du corps en face de lui. Il était effrayé rien qu'à l'idée de recroiser le regard du mort.

Mais ce fut encore pire que ce qu'il croyait. Les cheveux blonds s'étaient transformés en longs cheveux bruns. Les yeux noisettes étaient devenus gris... Et ce visage... Était celui de Tish.

Ton orgueil m'a tué...

L'adolescent retira l'épée, qu'il projeta plus loin, et prit la jeune femme dans ses bras.

Tish était une Griffon, des soldats qu'il avait combattu. Lui et l'adolescente était devenue proche, jusqu'à devenir amants, et s'aimaient.

Ko la serrait contre son torse, murmurant des "Non... Pas toi..." concrétisaient par des larmes qui ruisselaient sur sa joue.

La lueur des flammes se reflétait dans l'eau venant de ses yeux, jusqu'à ce que le mur incandescent s'éteigne, petit à petit, sans que le jeune brigand ne s'en rende compte, jusqu'à ce que des rires se fassent entendre. Des éclats de rire comme celui d'Auguste peu avant.

L'adolescent tourna sa tête sur le côté, et fut... Horrifier de ce qu'il vit.
C'était encore des ombres, tout du moins, leurs corps, car leurs visages étaient reconnaissables.

Ces personnes qui riaient étaient Queen, Oce, Leprieure, Lefier, Julia, Mariposa, Ehlann, Nicbur, Kamazone, L'Renard, Briseys, Wizard, Morena.
Des genèvois qu'il a connu et des brigands qu'il connait. Tous étaient là, riant en assistant à cette scène.

Puis un autre rire se fit entendre, plus proche. C'était Tish qui riait à son oreille. Ko fut tout d'abord effrayé, mais osa regarder le visage de ce démon. Chose qu'il regretta.

Le visage de la blessée avait encore changé, laissant apparaitre celui de Croque-mitaine et son peu de dents noirs, son haleine fétide surpassant l'insoutenable fumée ambiante.

Le jeune brigand relâcha ce corps aux milles visages. La cape devenue ombre, l'ombre devenue poussière. les rires s'arrêtèrent aussitôt.

Mais ce n'était pas suffisant. Non. Ce cauchemar ne s'arrêta pas là. Une voix s'éleva, résonnant dans ce monde :

Tu as tué ton amoureuse comme tu as essayé de tuer ma fille !

L'adolescent tourna la tête. Il ne devrait plus être surpris de voir resurgir les morts, mais là, s'en était trop. Son souffle fut couper sous la surprise de ce que ses yeux lui faisaient voir.

C'était Alystrael, une brigande dont Auguste fut le confident, morte sous les remparts de Dole.
Les mains de la défunte étaient posés sur les épaules de Maelle et Raiden, qui arboraient un sourire moqueur, tout en se tenant la main.

Ce rêve infernal n'était plus un simple cauchemar, mais une véritable torture psychologique. Une épreuve de force pour les nerfs. Un parcours du combattant pour le corps.

Tout cela, l'adolescent l'avait supporté jusque là, mais s'en était trop. Ses jambes ne le supportaient plus, sa gorge ne laissait plus entrer l'air empoisonné par la fumée, sa tête n'avait qu'une envie : exploser.

C'est donc en sueur et fatigué que le jeune brigand s'écroula dans la terre sèche de ce monde, sous le regard des créatures le peuplant.

Les flammes avancèrent une dernière fois pour consumer le corps inerte qui était à leur portée, mettant fin à une existence de quelques minutes...





[Sur le planché des brigands]

Le visage de Ko était en sueur. Ce cauchemar était si intense que la transpiration imaginée se matérialisée dans ce monde.

Maelle continuait d'essayer de réveiller le brigand, jusqu'à ce qu'elle abandonne et commence à tirer l'adolescent jusqu'à une fosse à purin.

Le cauchemar était finit, mais les paupières du jeune brigand étaient encore lourdes. Il n'avait pas le courage de les ouvrir, seulement de marmonner :

Tish !... Tish !... Tish !!! finit il par crier

Rassemblant le peu de force qui lui reste après cette course de tout à l'heure, ce cauchemar et le fait que le vieux l'ait traité comme un sac à féculents, Ko roula sur le côté, se libérant de l'emprise de Maelle, tout en ouvrant les yeux, et se redressa pour finir sur ses geoux.

Son regard hagard balaya la pièce, cherchant des démons, le feu, et ce qu'il était entrain de lui arriver.

L'ombre courut en taverne vu quil avait une tourné il cria:santé!




L'ombre demanda au nouvel arrivant:


alors comme ca tu es nouveau?si tu veus un conseil ne te laisse pas marcher dessus ses commes sa que tu arriveras a te faire respecter.

L'ombre leva sa biere et disa:


a notre beau et vilain métié.