[RP] L'Auberge au Bon Brigand

Nimoy accueillit Ange dans ses bras. A ses yeux elle avait un fort caractère mais à cet instant elle lui parut si fragile.
Elle avait besoin de tendresse. Il ne connaissait rien de son passé. Certaines femmes ayant croisé son chemin portait sur leurs épaules un fardeau, dans leurs yeux brillait une petite flamme vacillante que les épreuves n'avaient pas réussi à éteindre. Ange avait cette petite flamme dans les yeux.
Il referma ses bras autour d'elle lentement. Il savait qu'on le prenait pour une grosse brute. Qu'il puisse se montrer doux devait choquer parfois et pourtant, quand le besoin s'en faisait sentir, il savait les gestes, les attitudes qui réconfortent. Un regard, une caresse, un début ...
Il prit conscience de se trouver à la vue de tous. Une décision s'imposait.
Il se pencha à son oreille et dans un murmure lui souffla :

" On ne peut rester planter là, au milieu "

De plus en plus séduite, Vivelame ne le quittait pas des yeux. suivant chacun de ses gestes. A ces mots elle passa sa langue sur ses lèvres, ses cils papillonnant comme sous l'effet de la réflexion. Ou peut-être un artifice de séduction, tout dépendrais comme Lord prendrais cela pour lui.

Citation :

-Pourquoi je suis ici ?.........,dit il d'un air souriant, installez vous très chère je n'aimerais pas que vous soyez mal a l'aise asseyez vous donc, ajouta t il.

S'installant confortablement, Vivelame, l'écoutait parler. Quand lui même fut assis face à elle,elle lui sourit.

Citation :

-Je suis ici pour chercher quel qu'un qui m'aidera au brigandage et aux assassinats très chère.

Riant quelque peu à ses mots elle enchaina après lui.
Hummm!!!Quelqu'un, pour vous aider au brigandage? Nulle doute que vous êtes au bon endroit. Mais pour tuer,je craint qu'il n'y aie aucun endroit pour apprendre, autre que le chemin de la vie. Tuer, ne s'apprend pas, c'est en soit, en nous, ancré comme un plaisir extrême, plus fort encore que celui de deux corps serrés l'un contre l'autre par la passion qui les nuit.
Tout en parlant elle avait avancé sa main vers le couteau et caressait la lame froide du bout d'un index,comme si sa phalange suivait la ligne soyeuse de l'échine dorsale d'un homme. Ses autres doigts s'allongèrent et sa main entière enserra le pommeau du couteau. Elle le leva un instant soupesant l'arme devant elle et la reposa.
Joli couteau,mais trop léger. Si une lame doit être meurtrière, elle se veut pleine, et assez lourde pour s'enfoncer pleinement dans la chair et faire couler le sang, jusqu'au dernier souffle de votre victime.
Regardant de nouveau le couteau, elle leva les yeux et rencontra ceux sombres de Lordric.

Tout ce qui pouvait exister autour d'elle ne l'intéressait plus , elle était la dans ses bras heureuse d'y etre et un sentiment de sécurité l'envahissait de plus en plus .

Elle pouvait jouer la dure , elle manquer d'affection et elle en était consciente .

Citation :

" On ne peut rester planter là, au milieu "

Cassis releva la tête qu'elle avait bien enfoui contre lui et le regarda avec une petite moue .

Ah bon tu crois ??? heu ben alors rentrons a la mais........ je veut dire a la confrérie ....
Elle abaissa son visage empourpré une fois de plus et se retira de ses bras .

Nimoy vit le jeune homme à la tignasse ébouriffée entrer dans la taverne.
Il se dit qu'enfin cette taverne reprenait une visage habituel.
Par sa présence elle ressemblait déjà moins à un zoo.
Il porta son regard sur Ange et lui murmura en lui désignant discrètement l'ébouriffé :

" Peut être une nouvelle recrue ?
Moi je vais faire un tour à la confrérie,
ça sent mauvais ici,
si tu veux tenter ta chance, je t'attendrai,
tu n'auras qu'à me rejoindre plus tard "

Ses chuchotements terminés, il lui vola un baiser avant de partir.

Lordic fixé de plus en plus Vivelame son regard ne cessé de s'approfondir tel une épée qui s'enfonce dans une chair.

Citation :

Hummm!!!Quelqu'un, pour vous aider au brigandage? Nulle doute que vous êtes au bon endroit. Mais pour tuer,je craint qu'il n'y aie aucun endroit pour apprendre, autre que le chemin de la vie. Tuer, ne s'apprend pas, c'est en soit, en nous, ancré comme un plaisir extrême, plus fort encore que celui de deux corps serrés l'un contre l'autre par la passion qui les nuit

-Ma fois pour assassiné ne vous inquiétez pas pour ca, dit il tout en souriant diaboliquement, mais pour le brigandage j'aimerais bien trouvez quel qu'un qui n'a pas peur de la mort, ajouta il tout en passant sa langue sur ses lèvres, son sang ne cessé de bruler en voyant Vivelame passant sa mains sur le couteau et le posant sur la table.

Citation :

Joli couteau,mais trop léger. Si une lame doit être meurtrière, elle se veut pleine, et assez lourde pour s'enfoncer pleinement dans la chair et faire couler le sang, jusqu'au dernier souffle de votre victime.

-Ce couteau a peut être l'air léger et inoffensif c'est ce que vous pensé si je ne me trompe, essayiez donc de vous blessez avec je vous promet que vous allais mourir lentement très lentement sa lame est imprégné de poison mortel, mais en parlant d'arme lourde ne vous inquiétez pas pour ca , dit il tout en tirant sa cape sur le côté de sorte a montré son long rapière accroché a sa taille.
dit il tout en la regardant de haut en bas

Cassis se sentit perdu d'un seul coup , nimoy venait de partir plein de personne était entré en même temps , elle qui n'aimait pas le monde et la folle se sentit complètement paniqué .

Sentant son souffle se coupé elle prit la première chaise qu'elle trouva et s'assit sur celle la sans pouvoir bouger plus .

Elle resta la scrutant la taverne de part en part son corps pétrifié poster sur sa chaise .

La porte s'ouvrit encore, doucement, sans autre bruit que celui du grincement habituel. Le hors-la-loi qui entrait referma même derrière lui, avec autant de discrétion. Un brigand gentilhomme, qu'on aurait pu penser, si il n'était pas entièrement vêtu d'habits noirs et sales. Il avança de quelques pas jusqu'à voir ce qu'il se passait dans la salle. Il semblait chercher quelqu'un ou quelque chose. Son regard s'arrêta sur un brigand pas vraiment vêtu comme un général d'un quelconque empire, et un ivrogne qui venait de se faire arroser. Entre Chaos et X, il y avait toujours eu une rivalité. Sûrement parce qu'ils avaient à peu près le même âge, et que chacun voulait faire voir que c'est lui le plus fort.

Habituellement, il aurait souri, et aurait crié quelque chose pour titiller ses nerfs. Soit il s'écrasait et le revenant était content, soit il répliquait et il s'avançait vers lui pour se battre. Mais pas aujourd'hui. Il se dirigea vers le comptoir, comme ci il ne connaissait pas l'ancien courtisant de la Châtaigne, et s'assit. Le tavernier ne l'avait pas remarqué, trop occupé à servir des chopes. Et c'est au moment où le coude du gérant toucha le comptoir pour poser une bière que tout commença. Chaos avait la main posée sur le manche d'une dague, et il la planta sans retenue dans le bras devant lui.

Le tavernier hurla de douleur, sans comprendre ce qu'il lui arrivait, commençant à gratter la main qui serrait si fort la dague, tel un chien qui gratte une porte pour que ses maitres viennent l'ouvrir. Le jeune homme attrapa le tablier du tavernier, et le tira vers lui. On lisait la peur dans les yeux du blessé en voyant ce fou connu en ces lieux pour sa cruauté, et la haine qu'il savait attiser chez ceux qui le connaissaient : Sara, Maelle, Hanort, Lea, X, Raiden, Raven, Serra et bien d'autres. C'était lui qui avait incendié l'auberge il y a quelques mois, qui avait participé à une véritable boucherie à l'étage, en essayant de se venger de son ancienne amante. Et c'était encore cette vieille histoire qui venait faire du grabuge ici. Il y pensait à chaque fois qu'il regardait sa main gauche, où son annulaire a été sectionné.

Où est-elle ?! demanda Chaos en criant, ne se souciant pas de la gêne occasionnée chez les personnes présentes.

Je ne sais pas ! Elle a disparu ! tentait de lui expliquer le tavernier qui pensait surtout à retirer la lame plantait dans son bras.

Mais Chaos n'était pas le genre d'homme à se contenter de cette réponse. Il avait beau avoir vécu dans la misère toute sa vie, il était pourri gâté, et détestait ne pas avoir ce qu'il voulait.

Tu mens ! rétorqua-t-il en relâchant le tablier pour saisir le bras et le tirer vers lui. La lame, elle, était maintenue par son autre main, et déchirait la chair qui passait sur elle. Le tavernier continuait de dire qu'il ne savait pas où elle était, qu'il n'avait plus de nouvelles de son amie, qu'elle ne venait plus à la Grotte. En vain. Le brigand avait cette lueur de folie vengeresse dans les yeux, et il ne supporterait pas d'avoir perdu la piste de son ennemie mortelle. Mais sa patiente était à bout. Il ne tirerait rien de ce pleurnichard, et tout ce qui était inutile devait être supprimer.

Chaos relâcha la dague et le bras, pour saisir à deux mains le col de l'homme, et faire passer sa tête de l'autre côté du comptoir, avant qu'il ne reprenne son arme toujours plantée dans le membre ensanglanté, et de le replanter, mais dans le dos cette fois. Et il continua, encore et encore, il plantait et déplantait. Son visage était déformé par la colère, et pour évacuer ce trop plein, il se défoulait, sous les yeux des clients qui n'avaient peut être vu pareil meurtre depuis longtemps.

Quand la chemise blanche et crasseuse du défunt fut teintée de rouge sang, quand Chaos était essoufflé, son bras resta suspendu en l'air, et se rabaissa doucement pour essuyer la lame sur la joue en sueur du tavernier qui avait servi sa dernière chope. Il rangea ensuite l'arme du crime à sa ceinture, et but la chope devant lui, cul sec, comme-ci de rien n'était. Il se retourna vers la clientèle qui le regardait, silencieuse, et il demanda, plus calme :

Quelqu'un sait où est cette catin d'Aveugle ?

Cassis se sentant de plus en plus mal décida de changer de taverne , celle la était beaucoup trop fréquenté pour elle .

Sa phobie pour la foule ne pourrait jamais donc cesser , elle se leva et prit la porte aussi vite que possible .

Après avoir attendu longtemps Vaudan,Danel lui cria:
-Oh Vaudan,tête de pioche,ta plus de traducteur,ni d'exorte.Comment veux tu renter protéger??

L'osselet s'attendait bien sur a un peu de résistance de la part du savon ambulant, mais fut légérement surprit qu'un tel propret eu l'audace de l'asperger ! Ce qui le fit réagire bien en retard a son coup, qu'il reçu en pleines roubignoles..
Il tomba de sa chaise et se releva aussitôt a moitié, se tenant l'entre jambe, le souffle coupé par la douleur..

-Ouuuhhh.... T'sait qu'y'a qu'les fem'lettes qui frappent si bas mon gars ?! Aie aie... T'frappe vraiment comme une minette ! Il prend une mine faussement misérable et continue d'une voix chevrotante, histoire de distraire son adversaire le temps de récuperer : Haaahh... C'ainsi qu't'aurait traité ton grand père mon p'tit ?! Ahhh.. SI seul'ment j'avait encore vingt ans.. Quand j'avait ton age j'prenait tout seul des convois d'or royaux, et avec honneur ! Sans frapper bas comme une fillette... Enfin, plupart du temps... Et pis..

Au même moment, un jeunôt vole l'attention générale en massacrant sauvagement le tavernier... Pfuiii quel manque d'sang froid l'mec... Neanmoins, L'osselet en profite pour se relever, saisir le pichet de bière sur le comptoire et l'envoyer violement en diréction de la tempe du mercenaire..

Le viellard avait beau avoir plusieurs centimètres de moin que son adversaire, il rattrapait ce manque en largeure. Ses années de violence et de vagabondage lui avaient durçit les muscles, au lieu de les ramolire.

-Muahahahahaha ! T'aurait du m'filer ton fric Jasmine !!