Mon voyage dans le st Empire Germanique m' avais considérablement affaiblis, je me reposait donc à Lörrach ou j' avais enménagé dernièrement. Puis, après avoir récuperé j' achetais de la nourriture pour deux bonne semaine, je ne voulais pas me faire remarquer dans le jeune duché de Baden en pillant les passants. Ainsi je pris la route pour la France, la frontière était bien à 60 lieues de la ville germaine. Sur la route, alors que j' affutais ma lame pour mon arriver dans mon pays natal, je croisais un homme avec des yeux de fou dominer par la peur et la tristesse, sachant que je ne devais piller en ces lieux, je l' abordait gentiment voulant comprendre la raison de son malheur. L' homme était vétu d' habit en or et rouge j' en concluait qu' il était noble germain. L' homme me dit en sa langue que des barbares françois avancait vers Lörrach, il continua et dit que ses proches avec qui il voyagait (sa femme, son père et ses deux enfants) avait été sauvagement attaché au pied d' un arbre avant de mourrir dans les attroces souffrances des coups de fouets, lui seul s' en était tiré. Les barbares était d' après lui une dizaine. J' amenais le brave à une auberge ou il pleura et jura avant de finir rond comme heu... une vache ronde. Je dormais moi aussi à l' auberge, décidé à repartir demain vers la frontière et peut etre rencontrer ses fameux barbares pour les empecher de continuer vers ma maison, mes champs, ma boutique et ma vie...
Sujet: Journal du Poête 