Le bô sourit dans sa barbe rasée. Il est à poil sous son haillon mais la douleur l'aide à oublier l'humiliation. Il se met à délirer et à les rires s'en suivent.
Mais regardez vous bande de choux à la crèmes moisis, c'est ça qui dois nous faire trembler, AHAHAHAH.
J'ai perdu beaucoup trop pour ce que vous représentez!
Le Bô rit, il en souffre, mais il rit.
Toi l'renard, tu as pris Saint Bertrand pour 1000 écus, tes hommes en ont payé plus qu'ils en ont gagné!
Il s'écroule de rire et de douleurs aiguës.
Si vous saviez ce que je vous réserve si vous me laissez partir!
Quoi? Vous avez peur, et vous allez me tuer? Vous des hommes!
Laissez moi partir et n'oubliez jamais ma petite tête! Vous la reverrez. Croyez moi!
Le Bô rampe jusqu'à ses vêtements déchirés et se couvre avec tant bien que mal.
Vous me faites pas peurs!
Le Bô flippait atrocement et ça se voyait qu'un peu.
Alors tuez moi comme des niaiseux, ou laissez moi partir comme des hommes!
Mais NON de DIEU faites quelques choses!
Vous n'êtes qu'un tas de mouches à bouse sur une crotte de joyeux brigands.
Le Bô pensa immédiatement:
Là tu vas te faire déchirer mon pauvre gars! Pauvre de moi!