Il était une fois, la rémission.......

Une fois notre Vampirine retapée et remise sur pattes, l'envie de brigandée et des grands espaces la reprit à nouveau.
Elle poursuivit son journal intime........

Un jour avant mon départ

Un homme est venu à ma rencontre en taverne, bordel je l'ai reconnu sitôt.
L'enfoiré, il avait le culot de se pointer devant mon nez de travers.
"'jour" avait il dit
Je te reconnais, lui ai je répondu.
Il s'est excusé pour la fois où il m'avait laissée pour morte, quel empaffé.
Seulement voilà, il avait un deal a me proposé.
Il brigandait seul depuis des lunes et il voulait me donner un coup de main pour démarrer.
Avait il des remords, je pense ouais.
Je l'ai écouté, il m'a dit qu'il partait le lendemain brigander qui revenait régulièrement sur Uzès déposer son magot et qu'il repartait.
Ca me bottais bien son histoire.
C'était un bon moyen d'apprendre et surtout de me renflouer pour pouvoir bouffer de la bidoche.
Pour le moment c'était mon seul objectif.
Cependant un problème se profilait, pendant qu'il me tabassait il avait reluqué mon cul et il avait des vues.
Il peut toujours rêver.
Je ne suis pas une poule et je choisis où, quand et avec qui.
Rendez vous fut donc prit le lendemain matin............

Le grand jour au matin

J'ai rencontré mon compagnon de route en taverne avant de partir, dernière mise au point.
Il m'a donné des écus pour acheté des miches d'avance.
Hum, je me demande bien ce qu'il va me demander en retour.
Pour le moment je me pose pas la question.
S'il me touche, je le castre.
Bref, me voilà avec 6 miches, aucun écu, prête à nouveau pour l'aventure.
Bordel, j'espère avoir plus de chance cette fois ci.
"Tu vas passer devant....."
L'enfoiré, tu parles, d'une part je prends tous les risques et de l'autre je vais sentir son regard lubrique mater mon cul tout le long du chemin.
Cela dit tant qu'il fait que ça, je vais pas me plaindre non plus.........

Le 7 avril 1458

Bordel je vais finir par me faire appeler "la poisse".
J'en ai encore ramassé plein ma gueule avec deux gugus cette fois ci.
J'ai été assommée un moment et je me suis relevée.
La saleté a trouvé le moyen de me donner sa confiance en m'aidant à me relever, avant de ricaner bêtement.
La garce !!!
Résultat des courses, j'ai des bleus supplémentaires et rien à bouffer comme d'hab.
Et bien, perdu pour perdu, je vais moi aussi racketter, j'ai plus rien à perdre de toute façon, à part ma vie........

07-04-2010 04:32 : X vous a accordé sa confiance.
07-04-2010 04:21 : Vous êtes affaibli : vous avez perdu des points à certaines de vos caractéristiques.
07-04-2010 04:08 : Vous avez été racketté par un groupe composé de X
07-04-2010 04:08 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Myche et de Trill (coefficient de combat 10), qui essayait de vous détrousser. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant inanimé dans un champ.

Le 8 avril 1458

Alors que nous nous apprêtions à commettre notre forfait ensemble et qu'il matait mon cul tant qu'il pouvait, v'là t'y pas que deux hommes armés sortir d'un bois dont ne sait où.
Ils attrapèrent mon compagnon d'infortune pour le conduire en prison.
De mieux en mieux, ça continue......
Et lui de me dire

Tu es seule maintenant.......

Sans blague, comme d'hab.

A ce moment là, je me suis dit "La poisse", ce nom là m'allait comme un gant, il était fait pour moi sans aucun doute.
Deux solutions s'offraient à moi, une je rentre à Uzès et deux je brigande toute seule.
J'ai choisi la deuxième solution.
Et me v'là partie, mon état n'était pas folichon, mais à part la mort, ça pouvait pas être pire.
Et la mort et moi, on est devenue super pote.
Donc me voilà à nouveau sur les chemins, toute seule.
J'aperçus une jolie Brunette, j'ai fait preuve d'une méchanceté et d'une cruauté sans nom, et oui fallait bien que quelqu'un paye ma mauvaise humeur.
Je l'ai caillassée, comme une malade.
Elle a bien essayée de répondre, mais je lui en ai pas laissé le temps.
J'ai récupéré sa bourse et je me suis remise en route.
J'ai compté 80.24 écus.
Etant malgré tout "honnête", je mis d'office de côté 40.12 écus pour mon "reluqueur de fesses".
Je pris la direction d'Uzès car mon état était à nouveau critique "mourant" et surtout rien à bouffer.
On pouvait aisément compter mes os, tiens c'est ce que je vais faire en route, ça va m'occuper.
Ma décision est la suivante retourner à Uzès et me retaper, essayer de bouffer de la bidoche et ensuite balancer des "bourres pifs" (des gnons).
J'aurais sûrement plus de chance.
Je vais me taper aussi quelques chopines à la grotte en passant.
Il fait grand soif..............

08-04-2010 04:08 : Vous avez racketté X qui possédait 80,24 écus.
08-04-2010 04:08 : Vous vous êtes battu avec X (coefficient de combat 1), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

Le 9 avril 1458

De retour en ville, il faut que je me remette de mes blessures, à nouveau.
J'attends mon mateur de fesses et dès qu'il sera d'attaque, on remet ça.

17h48, je viens de rencontrer un homme en taverne, il m'a vu brigander avec mon compagnon
Bordel, v'là t'y pas qu'il est parti me dénoncer et dire où je me trouvais, au prévôt du coin.
Pas de blème, j'ai pas envi de courir, je vais assumer et surtout recommencer, je me demande si j'aurais du bol un de ces quatres.
Pour le moment c'est mal barré.
Putain, j'ai la chcoumoune qui me suit de près.
Je vais parler de tout ça à l'avocat de mon coeur et lui demander s'il peut pas faire quelques chose pour moi, qui ne tente rien n'a rien.

Le 10 avril 1458

Je me fais chier comme un rat mort, d'ailleurs en parlant de ça, la ville est infestée de ces bestioles.
Après tout je m'en cogne...
Je m'ennuye à mourir, en plus, j'ai plus mon avocat chéri pour me faire des papouilles.
Pfffffffff, il est parti tellement vite qu'on a pas eu le temps de conclure....
Si ça continue je vais finir vierge moi.............

Le 14 avril 1458

C'est pire que la mort, je me fais suer, je m'ennuye, j'ai plus de nouvelle de mon "mateur de fesses", dommage, ça m'occupait.
Point positif, j'ai commencé à manger de la bidoche, pas mauvais du tout.
Je la mange crue c'est bien meilleur, le goût de sang je kiffe à donf.
Je me demande si je ne serais un peu carnassière par moment.
Enfin, toujours est il que je vais m'empiffrer autant que je peux.
Je ne veux plus m'en ramasser plein la tronche pour pas un radis.

Le 20 avril 1458

J'ai donc commencé à bouffer la bidoche, mon avocat est toujours absent et je m'ennuye à mourir.
Je me suis bien retapée depuis le dernier gnon.
J'ai eu un courrier de mon "Mateur de fesse", il me demande si je suis prête à repartir, tu parles que je suis prête.
Je préfère me faire mater le troufion sur les chemins que de le poser en taverne sans rien foutre.

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