[RP] Tout n'est que vengeance...

Hanort était la dans la salle, les volutes de fumée s'échappaient de ces lèvres ... Oui ... il écouta le brigand... Accoudé a un mur comme il le faisait silencieux et passant inaperçue ... Le Géant paraissait peut sur de lui ... Mais il méritait d'être écouté... Angel .... Oui Han s'en souvenait ..... oui il avais combattu a ces cotés, a Cahors, a Sarlat, a Périgueux ....Oui ils avaient ... du lâcher prise ...ils avaient étés écrasés .... Mais le souvenir était toujours ....Là ...

Han le laissa terminer ... Puis il s'approcha Attrapant au vol une chopine de bière a un ivrogne qui ne manifesta même pas son mécontentement, a moins que se soit Han qui ne le remarqua pas, il l'engloutit d'une traite ....

Puis il se planta devant le Géant ....

Alors comme cela tu connais Angel ...Enfin, a présent il n'est plus là c'est certain ....
J'avoue que tes paroles sont Censée ... Mais ... Pour m'etre Fait Chiez pendant plusieurs mois a les observer .... les Royalistes comme tu dis, Loyalistes comme le disent certains autres .... ont un avantage .... le soutien du peuple ....

Alors Oui pour moi il Faut Frapper .... d'ailleurs je t'avoue que mes petites mains me démangent depuis quelques temps .... l'ennui me tiraille ....

Mais que Propose tu, qu'est tu prêt a Faire ... Pour le Venger .... Hein ? ....

Hanort le dévisagea un instant .... et tendis une main vers le Géant...

Je suis Hanort ...

1151, 1152, 1153, 1154, Briseys soupire... C'est chiant d'avoir les bourses lourdes.

Pendant qu'il marchait et comptait sa petite monnaie Briseys arriva dans la taverne, lieux de rencontre et plus souvent lieu de baston, mais bon de nos jours les bastons ne se règle qu'à la pointe d'une épée, c'est plus sympathique à regarder que d'y participer. Une fois arriver au comptoir le Brigand s'y accouda et claqua des doigts pour qu'on vienne lui servir à boire, pas besoin de préciser quoi puisqu'il n'y a que d'la bière et du rhum dans cette grotte. En attendant d'être servie l'hispanique se titouilla le bouc tout en scrutant d'un œil méfiant la taverne à la recherche d'un truc à faire. Il ne fallut aucune difficulté à l'homme pour poser son regard sur la masse qui se trouvait dans cette taverne, non de diou, il d'vait bien faire le quadruple de Briseys en taille et en poids ! Une seule question vint en tête, comment sa mère à fait pour le rejeter ! Elle devait pas être bien serrée la bougresse !

L'Castillan ne perdit pas de temps pour aller poser sa question au géant, oubliant sa choppe toujours pas servit il vit Hanort approcher, raison de plus pour aller voir l'ogre. Toujours avec sa démarche osé Briseys arriva face aux deux compères et s'apprêta à l'ouvrir quand il reconnu le nom du Renard sur un bout de papier. Il lu alors le morceau de papier sur le tonneau et se mit à sourire de toute ses dents.

Et bah mon gars !

Briseys leva grand les bras pour lui tapoter sur l'épaule.

Si même moi j'ai du mal à le voir se Renard, j'pense pas qu'tes plus de chance, sa fait un moment qu'il a pas pointer le bout d'sa truffe ici....

Presque rétabli grâce aux bouillons aux herbes prodigués par une vieille que d'aucun disent sorcière, Zarathoustra avait recouvré ses capacités a se ballader bien avant les trois demi lunes coutumières. A se ballader et à blablater. Il vint donc boire un coup en la taverne grottière, où l'on s'amusait parfois. Ca faisait un moment, et il se sentait d'humeur bavarde.

En jetant un rapide coup d'oeil, il ne put louper le mastodonte dont les paroles juraient avec sa stature. Il semblait abattu. Autour de lui quelques personnes, dont son ami Briseys, qui comptait des écus. Une tâche harassante, semblait-il. Il s'approcha, une choppe à la main. Il avait passé tant de temps cloué en couche qu'il ne s'assit pas.

Le scribe s'adressa à Briseys, avec un sourire moqueur.

Hé l'Hidalgo, on dirait que ça marche les affaires. C'est ce que tu as détroussé à des petites vieilles? Tu vas ptet pouvoir me payer enfin?

Il but encore un coup et c'est avec une moustache d'écume qu'il s'approcha du molosse et du gars qu'il ne connaissait pas. Zarathoustra n'était pas du tout intéressé par les affaires de vengeance, mais il s'agissait aussi de mettre un grand coup aux royalistes, aussi tendit-il une oreille attentive.

Le Renard? Il paraît qu'il s'est recyclé dans le recèle de dentelles et la contrebande de berlingots. Une affaire fructueuse, à ce que disent certains.

S'ensuivit un petit rire grinçant. Il était dans un jour de grande gueule, y a des jours comme ça.

A mon avis, les loyalistes ne benéficient pas de l'appui du peuple, mais de son indifférence.

Zarathoustra continua à vider sa choppe, tout content d'apporter son grain de sel sans qu'on ne lui ait rien demandé.

Kama venant faire son tour quotidien dans la grotte, qui finalement reste le lieu des Royaumes qu'elle préfère, voit Hanort et Briseys proches du comptoir. Boitillant un peu, mais plus beaucoup, suite aux coups d"épées qu'ella a pris dans la jambe et le ventre, elle déboule toujours avec beaucoup de bruit. Elle a jamais su faire dans la discrétion il faut dire.

Alors qu'elle approche de Briseys dans le but de lui taper derrière la tête pour le mettre en forme, elle bloque quelques secondes sur un homme qu'elle a déjà croisé rapidement au comptoir. COmme elle il est brun, comme elle il a des yeux bleux, mais..c'est le seul point commun semblerait il. Elle est toute ch'tite Kama, et de stature plutôt fine. Elle n'a rien de toutes les magnifiques brigandes pulpeuses qu'on croise dans la grotte, c'est une gueuse normale.

Attrapant d'une main le verre manifestement destiné à l'ancien Castor, qui est parti tapoter sur l'épaule du Cadet, elle pose sa Sica sur le Comptoir, et en trinque

- A la votre ! et à la Liberté !


La sicaire avale quelques gorgées, saluant de la tête et d'un sourire les présents.

Soudain elle sursaute, l'Zara est là ! elle l'avait pas vu ! Finalement...elle avait bien encore besoin de son mois de convalescence à priori

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edit: post écrit en même temps que LJD Zara, si vous voulez que je modifie un truc, dites moi le - aucun soucis[/HRP]

Ses deux interlocuteurs enchaînaient les questions, bien trop vite pour le pauvre esprit du géant, qui s'emmêlait petit à petit, n'arrivant plus trop à savoir où il en était. Plus ou moins volontairement, il ommis de répondre à la question concernant son frère, tentant comme il pouvait de répondre aux autres.

Euh...dommage pour Charlie et Wolfe... euh... c'est qui ce Briseys là hein ??
On va pas avoir beaucoup d'hommes en fait... ça va être dur alors...

Pour les Royalistes, il suffit de f..faire comme eux hein.

Soudainement, une sorte d'éclair de génie, du moins c'est ce qui lui sembla, traversa son esprit abruti.

J'ai en...entendu parler d'une armée, non? Un truc de République ou q...quelque chose de ce genre?

Puis, sans attendre de réponse, il se tourna vers l'homme à qui il avait fracasser le nez.

Et v...vous pouvez avoir des hommes? f...fiables? Même s...si ce n'est pas une n..noble cause parce que c...ce qu'on va faire n'est pas tr...très très gentil...

Ca semblait se passer plutôt bien, même si apparemment Angel n'était pas le seul à être tombé l'année passée. Mais le géant ne comptait pas se laisser décourager. Un peu plus loin, un homme arriva, salua la compagnie, et... c'est tout, Eddy n'y prêta donc pas gare...

La blonde était dans son coin, écoutait se qui se disait, sirotant sa chope, les royalistes mouarfs des lâches ceux là se dit 'elle. Orléans elle y était, elle y avait été blesser, les bretons s'étaient fichut des mercenaires, ils avaient saccager la villes et avaient pillés, mais ils avaient pas ou très peu payer les mercenaires venu en renforts.

L'ami j'y était à Orléans, tout comme j'étais dans le PA avec Angel lorsqu'il était rechercher pour être pendu avec Nilas et la Mano.

Tu veux le venger je ne suis pas contre bien au contraire, on le lui doit bien.

Si tu veux une armée, je te propose d'en monté une, poutrer du Royaliste ça motive les troupes crois moi, mais pour avoir des hommes aussi pret à suivre faut des écus.

Elle resta dans son coin, tout en fixant le géant, elle avait comprit qui il était, après tout si il ne souhait pas le dire c'était son affaire, elle garderait le silence après tout c'était pas ses affaires.