A tout savoir mieux que tout le monde, ce propagandiste parisien sans CV aucun commence à me les briser, et le manque de respect dans ses propos n'y est pas étranger. On croirait voir en toi Namaycush. Le dandy qui se balade avec sa Memento Mori à deux deniers, qui s'arroge toutes les vérités, mais qui n'a jamais rien fait de sa vie que d'se prendre branlées sur branlées.
-Si le Ponant n'a pas bougé sur le Maine, ou ailleurs (je rappelle que le Ponant ne se limite pas à Bretagne-Anjou-Poitou, au nord l'Artois peut largement traverser la Champagne, à l'Est le Berry et l'Limousin peuvent faire tampon), c'est parce qu'il ne le voulait pas, ses dirigeants au moins (les bretons et le nouveau conseil poitevin, pour ne pas les citer).
-Une ville ne pourra jamais tomber en une nuit, sauf miracle, ou en Champagne dans des villes de 50 habitants. Ou si tu prends la ville par révolte la nuit précédant l'arrivée. Et de toute façon l'action du Thoros, isolée, prêt à se faire tarter par les armées parisiennes, ne risquait guère de tenir plusieurs jours. Maintenant, juger mieux que l'intéressé la situation dans laquelle il se trouvait sur base de pseudo-espionnages (merci l'lavabo fallacieux), c'est grotesque.
-Y a une différence, très grande, entre brigand et mercenaire.
Sujet: Re: Frontière Bretagne/France : la fin d'une histoire 
