[rp] La fin d’une folle

Par une belle nuit fraichement couverte par les nuages et la pluie tombante en abondance sur une petite maisonnette cachée aux yeux de tous au fin fond d’une forêt . cette maison était faite de bois et de métal , représentant la pauvreté et la misère que la propriétaire avait . son toit était détruit et rongée par les racines dut au temps et aux intempérie. l’intérieur était très petit , juste la place pour une table en bois , un lit et une petite cheminée inondé d’eau . une jeune femme plutôt maigrichonne était en train de lustrer sa veille épée de combat et son bouclier à effigie des de Lamitsa , une famille détruite par les guerres et les disputes familiales . seule cette femme était encore vivante, encore présente et oublié de tous. Son visage marqué par la tristesse et les pleures sans cesse l’avait fait perdre sa véritable beauté . ses habits étaient déchirée et sale , moisie et délavé , portant une veille robe que lui avait offerte un jour une personne cher à ses yeux .
Son regard se porta sur une plume et quelques parchemins posaient sur sa table. l’eau commençait à tremper les feuilles avec lenteur s .La jeune femme se leva et prit place trempant sa plume dans l’encre et commença à écrire en marmonnant.

« tout à un commencement et une fin , et aujourd’hui , la fin pour moi est proche. Je me nomme Galidéa de Lamitsa, fille de parent inconnu à ce jours , ma vie fut une long épopée et d’aventure des plus passionnante mais ce temps là est révolu , cette lettre sera surement là dernière de mes aventures et de ma vie qui ne fut faite que de misère et de tristesse .

Tout commença vers l’âge de 16, ma vie solitaire m’a conduite de village en village, cherchant désespérément quelque chose à faire de ma vie , seule je ne pouvait me défendre contre ses hommes et ses barbares qui étaient non seulement ivres mais aussi pervers à l’idée de faire de moi leur jouet . je connu ce jour là, la pire des souffrance et la plus douce des sensations, la mort. une mort qui hanta mes pensées jusqu'à l’âge de 20 ans ou je commençais à devenir celle que j’étais à l’époque, une brigande sans cœur et sans remord, prête à tout pour assouvir ma soif de sang. Mon premier meurtre fut un couple d’un certain âge ou le mari voulait de moi comme son amante , son jouet quand sa femme était partie , une catin qui réaliserait ses rêves et ses désirs les plus fous . hélas pour lui ce fut un honneur pour moi que lui faire gouter la chaleur d’un poignard dans l’abdomen et sa femme fut égorgée comme on le fait aux animaux .
Depuis ce jour , le gout du sang attirée mes pulsions meurtrières et sauvages , massacrant les passants pour obtenir leur vivres et leur bourses . c’était la plus sombres de mes périodes.

Un jour , mon chemin croisa celui d’une personne aussi tourmentait que moi et notre alliance ne fut que plus terrible pour les autres . deux fois plus de mort et de blesser et deux fois plus de denrée pour notre couple .j’était devenue en quelque année , une tueuse des plus violente du royaume.

Mais tout cela fut de courte durée, me voici aujourd’hui, vouée à mourir sans gouté les joies d’une mort honorable et douloureuse tel que j’ai pu endurer depuis ma naissance. Plus personne se souvient aujourd’hui que qui j’étais . alors celui ou celle qui lira ses mots , en sera d’avantage à mon sujet. »

Galidéa posa sa plume et attendit quelque instant avant de signer sa lettre de son propre sang .